about time n'est autre qu'un forum rpg city simple et sans chichis, bien qu'ayant un concept un peu particulier. Le but du forum n'est autre que de se faire plaisir, faire de nouvelles rencontres, de se poser un peu sans pression ni prise de tête et de rp tranquillement. Venez comme vous êtes, avec le personnage et l'avatar que vous souhaitez. Ce forum, on veut le construire et le développer avec vous. Ici, vous êtes à la maison. | | Invité---------------------------------------- Invité 
| | () Re: ▪ les perles du rp. Sam 15 Mai - 13:11 | | - esras Mahon a écrit:
- Curiosité malsaine de l’homme né des abîmes. Irrésistiblement attiré par la gent féminine au caractère de feu, il restait un homme péchant face à la luxure.Si depuis son mariage avec Eileen, seule femme dont il éprouvait des sentiments, il avait tout fait pour rester fidèle, il avait malgré tout fait quelques entorses. Et Freyja qu’il apercevait de loin, était tout à fait le type de femme qui pourrait le faire craquer à nouveau. Il chassa cette idée impur de son esprit, se concentrant sur la réelle raison de sa présence, s’annonçant, égal à lui-même, n’allant pas par quatre-chemins. « Mahon. Moi aussi je suis contente de te voir. » Peu de personnes étaient réellement contentes de le voir, dégagent souvent un sentiment d’effroi, on l’évitait plus qu’on ne recherchait sa présence. Malgré la surprise qu’il lisait dans ses yeux, il salua avec respect la façon qu’elle avait de garder son calme, ne laissant pas transparaître ses émotions derrière son visage de porcelaine. « De qui tu parles ? De toi ? Car je ne suis pas sûre qu’on puisse dire qu’on traîne ensemble. » Après avoir lâché dans les airs, la fumée de sa cigarette, il lâcha un rire tandis qu’il laissait trainer son regard sur ses courbes alors qu’elle s’avançait vers lui. « Le plaisir est réciproque et non, je ne parle pas de moi, je ne fais pas dans l’égocentrisme. » Son regard de nouveau porté au niveau de ses yeux, le Mahon s’amuse de cet échange, le sourire toujours ancré au niveau de ses lèvres, oubliant pendant quelques instants qu’il est face à un agent. Cet oubli qui enflammait cette curiosité en lui, et qui consolidait l’idée qu’il pourrait en tirer quelque chose.« Et puis, je ne suis pas quelqu’un avec qui on traîne… » Il laissa sa phrase en suspens, ne doutant pas que Freyja comprenne ce qu’il sous-entendait alors que celle-ci ne perdait pas de son mordant. « Mais tu es vraiment venu pour me parler de mes fréquentations et me donner ton avis sur les amis que je choisis ? » « Ai-je vraiment besoin d’une raison pour venir te parler ? Ce n’était qu’un prétexte comme un autre pour profiter de ta présence. Loin de moi l’idée de venir t’imposer un choix sur les amis que tu t’ai choisi, bien que le choix est curieux et que le mot ami est faible. » Il mettait cartes sur table le Mahon, choisissant de révéler qu’il en savait plus qu’elle ne se doutait. « J’espère que tu n’as pas reçu de nouvelles plaintes de tes soldats que j’aurais légèrement pu secouer. Si c’est le cas, dis leur que je suis presque navrée. » Le sourire d’Esras s’agrandit un peu plus, presque carnassier en entendant ça. Rare était ceux qui osait lui parler aussi facilement. Secouer légèrement certes mais, elle qui semblait n’avoir peur de rien, qui avait tendance à être attiré par la noirceur, elle ne se doutait pas qu’il avait dû les secouer d’avantage ses soldats pour qu’elle n’ait pas de représailles fatal. « Et je suis presque convaincu que tu sois navrée. Seulement, à ta place, j’éviterais à l’avenir de recommencer, si tu ne veux pas finir malencontreusement à l’hôpital.» C’était loin d’être une menace, même si cela pouvait être perçu comme tel, c’était un cadeau qu’il lui faisait, un avertissement, chose qu’il faisait rarement à moins d’avoir une contrepartie en échange. Contrepartie qu’il savait réussirait à avoir à un moment. « Dis moi, c’est une nouvelle méthode du fbi ou seulement la tienne ? » Il passait outre pour le moment, le fait qu’elle soit provocante avec lui, ne se doutant pas qu’elle jouait trop près des flammes.
je te l'ai déjà dit hier soir claire, mais  ce rp, eux deux. je love. |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Sam 15 Mai - 13:30 | | |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Mar 18 Mai - 14:09 | | - ayodeji pearson a écrit:
- Les iris bleues de l’océan viennent instantanément se heurter au brun profond de l’enfant venu d’un autre continent. Quatorze ans. Plus encore depuis que les deux frères ont participé à la même discussion. Tout autant de cicatrices qui se réveillent sur les parois du myocarde d’Ayodeji et se rétractent, lui faisant ressentir cette pression dans sa poitrine. Il a vieilli, l’homme qui est entré dans la salle à manger, mais il est toujours aussi imposant, magistral, sûr de lui et intimidant. Incapable de dire quoi que ce soit, Ayo ravale une boule de bile amère qui racle sa gorge asséchée, toisant son frère, observant chaque parcelle de cet être avec qui il n’a jamais rien partagé.
J'pose ça là. Parce qu'Aude m'envoie encore du rêve   |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Jeu 20 Mai - 22:49 | | |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Sam 12 Juin - 21:08 | | - bryce sadler a écrit:
- C'soir, on lui demandait juste d'être belle – d'se laisser faire, même à l'approche du grand hôtel où il l'avait emmenée. Une passivité qui f'sait opposition à tous ses instincts, l'envie d'cracher le venin d'son dédain, d'enfoncer ses griffes dans l'derme jusqu'au sang. Qu'il paye d'cette arrogance répugnante. Pourtant, inlassablement, ç'avait été des caresses à la pulpe du doigt qu'elle avait égarés, touchers en plume pour flatter l'ego d'son maître d'soirée. D'eux deux, celui qui avait ployé l'échine n'était pas c'lui qui en avait l'plus l'air : elle l'savait, l'décryptait dans ses yeux imbibés d'désir lubrique, l'insistance avec laquelle il cramponnait ses mains à sa taille. Déjà, elle avait fait en sorte qu'il abuse quelque peu sur l'champagne, qu'les serveurs passent un certain nombre de fois devant lui, offrant une flûte plus remplie qu'd'autres. Un sourire d'ange, une promesse susurrée à l'oreille, et l'monde à ses pieds. Et c'est avec cette même agilité féline qu'elle mania les mots, négocia d'avoir sa chambre à elle – une heure au moins, l'vœu dilatant les pupilles, sourire mielleux sur la bouche pour jurer que ça en vaudrait le détour. Qu'il n'en serait que plus satisfait, du temps qu'elle prendrait pour elle, s'préparer, s'faire parfaite en écho des fantasmes qu'il n'avait qu'à peine osé avouer encore. Et elle les avait tous entendus, les désirs d'grandeur des hommes comme ça – leurs lubies excentriques ou dégoûtantes. Ceux qui aimaient s'faire attacher et chevaucher jusqu'à l'épuisement. Ceux qui étaient tout l'inverse, abandonnaient même des traces chargées d'mauvais souvenirs sur l'diaphane d'la peau d'leur silphe d'une nuit. Un titre d'appropriation qui durait trop longtemps après l'tête à tête, s'confondait avec d'autres violences, s'effaçaient dans un lavis d'indifférence, quand elle s'dilatait les veines à la drogue.
Perfection, bonsoir ?  |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Dim 13 Juin - 1:58 | | |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Dim 13 Juin - 22:07 | | - Seraphine Vanderbilt a écrit:
- Le simple fait de simplement t’apercevoir et de devoir rester à distance de toi pour ne pas provoquer sa colère, ça fait que tu es trop loin de moi. elle reste muette, submergée par des idées contradictoires. sentiments désabusés. les prunelles s’entremêlent à celles du désiré. si bien qu’elle ne le sent pas s’approcher. un peu plus. un peu plus proche et j’en crèverais. la main de l’âme sœur caresse délicatement la sienne et le long de son bras, navigue un frisson qui vient lui chatouiller la nuque. elle tente de contenir le palpitant fou, qui tambourine contre sa cage thoracique. prêt à s’en déloger. elle ferme un instant les yeux, tandis que les doigts experts s’insinuent jusqu’à sa joue. peau de porcelaine caressée. poupée adulée. doit se mordre la lèvre inférieure pour ne pas succomber. Mais je sais qu’il n’y a pas d’autres choix. Pas pour le moment. Même si j’aimerais la retrouver notre bulle d’autrefois. Revenir quinze ans en arrière et oublier le reste du monde. elle ouvre à nouveau les paupières et l’entrevoit. l’espoir. l’espoir d’un jour nouveau où enfin, ils seraient réunis. la parfaite utopie à laquelle elle se refuse de penser l’écrivaine. pas pour le moment. la proximité est insoutenable. l’écrivaine sent le souffle de l’aimé caresser délicatement son visage. elle observe les lippes presque tremblantes et souhaiterait s’y perdre. s’abandonner au désir du cœur. en oublier la raison. les lèvres entrouvertes, elle peine à reprendre son souffle. même à déglutir. sa main libre rejoint celle de aari et en ravalant un sanglot, elle la force à délaisser ses traits. j’aimerais t’avouer à quel point, tu me manques. à quel point tes lèvres me manquent. à quel point ton souffle sur ma peau me rend folle. j’aimerais si tu savais, te dire que je t’aime à en crever. aucun des mots ne franchit la barrière de l’audible. elle ne souhaite pas nourrir l’espoir. l’espoir des deux palpitants déjà amochés. Je… qu’elle souffle ; mots qu’elle perd devant l’homme qui pourrait la faire vriller. elle s’apprête à dire qu’elle est désolée. de toute son âme. mais au loin, elle entend son fiancé l’appeler. Sera ? l’air lui manque encore un peu plus. il ne les a pas vu. du tout. pourtant, elle se sent perdue. Je dois y aller – douceur toujours perceptible dans la voix. la conscience est retrouvée. je me tiendrais à l’écart, pour qu’un jour peut-être nous puissions nous retrouver. si souffrir est le prix à payer pour t’aimer, je suis prête à mourir à tes pieds.
- Aari Adichie a écrit:
- La raison , elle fut oubliée, assourdie par les complaintes du myocarde suppliant de la franchir cette ligne invisible. De la traverser cette muraille protectrice. Les images du paradis perdu, elles réapparurent violemment pour le frapper, le lion réconforté par la lionne hypnotisante. Avec imprudence, les doigts tendres, ils s’aventurèrent à la caresser la peau de la poupée de porcelaine. Contact exquis venant l’emmener plus près des étoiles. Délice fantastique des frissons traversant ses entrailles, pendant que les yeux enchantés, ils la scrutaient la déesse inoubliable. Le rythme du palpitant, il fusionna avec celui de la promise, pour qu’ensemble, ils partent vers la galaxie amoureuse. Loin de cette terrible réalité noyée dans la tragédie. Pour l’éternité, il souhaitait demeurer à ses côtés, parce que Sera, elle était sacrée, elle la possédait jusqu’à l’explosion de l’univers l’âme de l’animal lumineux. Et jamais, les monstres, ils pourraient le briser le lien les unissant. Car à distance, le regard du lion, il continuait de l’admirer. Les iris de la princesse elles se remplirent de perles salées et avec tendresse, il aurait aimé les effacer les gouttes de tristesse. « Je… », les mots bloqués, dans l’intensité des yeux tourmentés, il les entendait. Même dans les silences, les pensées sentimentales, elles atteignaient son esprit, parce que la princesse, il en connaissait toutes les émotions camouflées. « Sera ? » , la voix du futur dieu au loin, elle vint le stopper l’enchantement merveilleux. Parce que le trésor inestimable, il était cherché par le chanceux de la galaxie. Quand Aari, il commettait un crime monstrueux quand il ne faisait que la contempler. « Je dois y aller », lui, il était condamné à la laisser être emportée dans un autre royaume, parce que de nouveau, elle allait lui échapper. Sera, elle allait se volatiliser dans les constellations divines. Galaxie où le mortel, il ne pouvait pas entrer. « Te laisser partir c’est comme si le monde me ramenait sur terre là où tu es condamnée à être loin de moi. », douleur exprimée, quand le manque destructeur, il le ravageait à chaque nouvelle journée dans la réalité orageuse. Le moment éphémère, il était terminé, et le cœur arraché, il la termina sur le sol sa chute mortelle. L’utopiste, pour ne pas s’évanouir, il avait besoin de croire que le paradis, il reviendrait pour faire fuir l’enfer. « Promets-moi au moins que bientôt je pourrais être avec toi plus longtemps que pendant quelques minutes volées ? », promets-moi que toi et moi on pourra se retrouver et s’aimer sans que les monstres ils viennent nous attaquer pour nous tuer ? Promets-moi que toi et moi on est pas maudits pour l’éternité ? Le félin blessé, il ne pouvait s’y résoudre à cette séparation forcée. « Ou est-ce mal d’espérer un moment interdit à tes côtés ? », fuis avec moi. Partons ensemble, là où personne ne pourra nous rattraper. Là où je pourrais t’aimer en toute liberté. Les sentiments bruyants, ils l’emportaient pour la continuer la mélodie amoureuse. Mais la symphonie merveilleuse, elle se terminait, parce que l’harmonie de leurs cœurs, elle était brisée par le concerto de la fatalité.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ça va vous deux ? Vous avez finis de piétiner mon petit coeur  Si beau, si terrible, si tragique à la fois |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Dim 13 Juin - 22:11 | | alors vu que tu as posté sous [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] j'ai tellement le droit de dire : TOUT EST DE TA FAUTE cette tragédie c'est toi qui l'a en partie provoqué. traitre va  (ok c'était aari à la rancune tenace qui parlait  ) je piétine mon coeur t'en fais pas et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est destinée à m'envoyer des montagnes de feels |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Dim 13 Juin - 22:15 | | Tout est toujours sa faute à Samule  Le carnage que ça va provoquer tout ça (I'm not ready for it) Faut que je lance notre rp aussi Je vais finir par arrêter de vous lire moi pour préserver mon petit coeur  |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Mar 15 Juin - 19:43 | | - Travis Chesteride a écrit:
- Bourdonnement incessant contre ses tympans, à mesure que le silence se fait. La journée a été longue, éreintante même. Ces foutus clients incapables d'attendre plus de dix secondes leur voiture. Ces engins à quatre roues qui n'ont aucun sens pour lui et qu'il enverrait bien valser, s'il n'avait pas si désespérément besoin d'argent. Seulement là, seul entre les murs presque crasseux de cet hôtel à demi prix, il a l'impression d'étouffer, de brûler de l'intérieur et ce malaise le bouffe tranquillement, l'assaille de bruits qui n'existe pas pour le rendre fou. Coups répétés contre son crâne, à deux doigts de lui provoquer un mal de crâne. Alors il s'évade, quitte la chambre en coup de vent pour ne plus s'entendre penser. L'air frais lui apporte une bouffée d'apaisement qui ne dure pas très longtemps, mais suffisant pour qu'il envisage une décision. Sa moto non loin achève de le motiver et il attrape les clefs dans sa poche pour s'y ruer. Le ronronnement du moteur bientôt lui amène un très léger sourire. Son esprit s'enfuit enfin et le laisse tranquille, mais il sait très bien qu'il reviendra le hanter de ces images qu'il veut pourtant oublier. Tous les autres il les a laissé derrière, mais lui... Lui reste là, gravé contre ses prunelles, jamais complètement net, jamais entièrement flou. Ce fantôme qui s'évertue à le blesser quand il ne devrait pas se sentir coupable. Il n'est pas le monstre de cette histoire mais son estomac souvent retourné n'est pas d'accord. Ses pensées sans cesse harcelées non plus. Ce soir pourtant il va les étouffer, les détruire à l'instar des cellules de son foie, pour un simple havre de paix, qui ne durera pas.
Un bar là, à sa gauche, semble soudain s'illuminer et dans un coup de frein bruyant il s'y arrête. L'enseigne n'a rien de complètement attirant mais ce n'est pas important. Une seule chose lui importe à cet instant. Boire. Le plus de vodka possible, pour s'anesthésier. S'il pouvait aussi s'enfuir sans payer, cela serait un plus mais il n'est pas certain de savoir s'arrêter de boire avant de ne plus en être capable. Les questions après. Le cerveau est à éteindre, il ne veut plus le solliciter.
Lentement il s'accoude au bar, zieutant au passage les quelques jeunes femmes plutôt attirantes plus loin. Probablement une bande de copines, quelques gamines que son côté mauvais garçon va attirer. Il leur balance d'ailleurs un fin sourire charmeur, avant de se concentrer sur le barman qui lui demande ce qu'il désire. Vodka. La moins chère steuplaît. L'homme grogne un peu. Il les connaît ces genres de gars. Ceux qui veulent boire le plus possible pour un minimum d'argent. Ceux qui ont le mot ennuis, gravé au fer rouge sur leur front et à l'encre noire sur leur peau. Il ne porte pas de cuir, ni de signes distinctifs, mais le tenancier sait que c'est un biker... Tout comme il sait qu'il se passera quelque chose. Il ne sait pas quoi. Il ne sait pas quand. Il sait juste que les problèmes arrivent et l'idée ne l'enchante pas des masses. Dans un soupir alors il sert le verre demandé et le pose non loin du grand bourru, demandant aussitôt son dû. Travis grogne un coup, peu satisfait à l'idée de déjà devoir régler sa première consommation. L'argent manquera bientôt, mais il lui tend les quelques dollars demandés. Le liquide cristallin, légèrement trouble et à l'odeur piquante semble si réconfortant qu'il ne s'empêche pas de le vider aussi sec. L'alcool le brûle un peu mais il savoure l'effet immédiat qui s'en dégage. Fatigue aidant, il n'aura probablement pas besoin de beaucoup finalement pour s'écrouler bientôt dans un soupir.
Non loin, les demoiselles caquètent, cherchent son attention, mais c'est dans la porte qui s'ouvre qu'elle s'aventure. Réflexes habituels d'un homme qui a passé des années en prison, il surveille ses arrières, cherche la sécurité, mais il n'est pas certain de la trouver ce soir. D'autant qu'il demande un nouveau verre, sans finalement porter trop d'attention aux personnes qui sont entrées, mais qui vont pourtant de suite ennuyer les belles du soir. Probablement devrait-il rester dans son coin. Probablement. Pas ce soir néanmoins. Non ce soir il se rend compte qu'il a besoin de se défouler, qu'il a besoin de frapper. Et s'ils parlent trop fort, ses victimes sont peut être désignées. Et si vous laissiez les d'moiselles tranquilles? J'crois qu'elles ont pas trop envie d'parler. Reste dans ton coin. Pas tes histoires. Et autres blablas qui lui passent au dessus de la tête. Avant qu'il ne la balance violemment dans le nez de l'un des inopportuns. J'ai tout cité mais regardez la plume de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Je sens que tu vas m'envoyer tellement de feels avec ce lien  |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Mar 15 Juin - 20:19 | | Mais  T'es beaucoup trop choue. J'suis beaucoup trop contente que tu aimes! J'ai trop hâte de la suite de ce rp qui va être trop cool oui |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Jeu 17 Juin - 11:22 | | - edouard brown a écrit:
- mémoire d’un souvenir encore ancré en lui au fer rouge. souvenir de toi. emprunte dont il souhaiterait se défaire mais il ne le peut. le musicien est prisonnier. l’écho à l’autre le ramène au jour de son départ. souvenir du trop tard. il peut encore sentir le goût amer des larmes ; sur ses lippes abimées. incapable de comprendre, qu’à travers ses cris – elle lui disait adieu. tu tirais un trait sur nous deux. triste constatation et une seule réalité. tu m’as quitté. je n’ai pas su te garder. il pensait la voir partout ; l’ombre de la florentine. s’est même cru fou. se l’imaginait ; à tord. se la rêvait ; encore. et si le temps semblait avoir balayé la tristesse ; tu restes ma plus intime faiblesse. jusqu’à ces quelques mois. la florentine a retrouvé son chemin vers lui. malgré elle. malgré lui. et sans qu’il n’en ait pleinement conscience, la plaie s’est décolmatée. des années de galère. un genou à terre. à nouveau, sa tempête envoie tout valser. j’ai besoin d’air. il la détaille. la voit hésiter. l’encourage même. je t’en prie, viens le piétiner. elle hésite et le brown, n’écoutant que le tambourinement contrarié de son palpitant s’avance. Pour ne pas hurler. les prunelles azurs fuient celles qui l’ont tant de fois fait vaciller. se perdent dans le vide. refusent de prendre conscience de cette nouvelle vérité. celle où à nouveau, je ne fais plus partie de ta vie. celles où à nouveau je reste et toi tu t’enfuis.
- Nolan stark a écrit:
- L’envie de lui offrir le rêve d’une vie magnifique ensemble peut-être il sommeillait en lui. Avec elle les ténèbres n’étaient plus si ténébreuses. Avec elle le soleil devenait plus brillant encore. Les sentiments incontrôlables du colosse quand il était face à elle, avec elle. « Tu es si belle. » Les mots incontrôlable qui franchissent ses lèvres alors qu’il la regarde. La lumière de la nuit envahissant la pièce, princesse du soleil, déesse de la lune. A la fois si belle et mystérieuse, comme un bijou précieux brillant à chaque instant de la vie. L’admiration dans le regard, incontrôlable quant face à lui se trouve celle qui, pour la première fois depuis des années, le détourne de ce mariage avec le diable. La faucheuse serait jalouse de voir dans quels bras il se perdait quand il n’était pas à ses côtés. Mais la fleur de lys était le rêve qu’il avait perdu, l’humain ravivé quand c’était en monstre qu’il vivait. La peur infligée aux autres pour la garder la position tant redoutée. Mais à ses côtés elle rayonnait de bonté celle qui guérissait les plaies de l’âme. De son âme.
merci chers messieurs d'arrêter de tuer ele. ce serait fort sympathique |
| | | Invité---------------------------------------- Invité
| | () Re: ▪ les perles du rp. Jeu 17 Juin - 19:20 | | Pardon doudou Je vais essayer de faire de mon mieux |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Dim 20 Juin - 10:53 | | - Eleonora Pedretti a écrit:
- Le soldat des ténèbres étincelant dans son ciel ensoleillé capable de combattre tous les nuages pour ramener des rayons solaires dans son monde. Lui, il la faisait chavirer dans cet océan émotionnel, réduisant en poussières les murailles protectrices forgées dans le marbre pour les empêcher les assauts contre le cœur reconstruit. Et cette escale amoureuse, elle la savourait seconde après seconde, habitée par cette attirance envoûtante, quand de ses yeux émeraude, elle plongeait dans son regard océanique. Quand à la première lueur du jour, la poupée endormie, elle se réveillait en sentant la carcasse du géant près d’elle, elle s’enfermait dans cette bulle bienheureuse. Une bulle que les bourrasques de troubles, elles n’étaient pas venues faire exploser. Les éclats sentimentaux habitant ses cellules, elle ne tentait pas de les repousser, par peur des blessures incandescentes. La princesse craintive, elle les jouait les notes de cette mélodie d’amour, malgré les possibles brisures du myocarde, si les cordes, elles se désynchronisaient. Parce que fracassée par le vent envoûtant, elle sentait que le lien inexplicable, il était différent, et que le rythme du palpitant, elle en avait perdu le contrôle depuis que l’astre de la nuit, il l’avait conquis. Le trajet silencieux, elle l’apprécia l’arrêt de la voiture signifiant l’arrivée chez elle. La course payée par quelques billets, elle se hissa hors de l’habitacle, allant l’ouvrir la porte vers son paradis merveilleux. De dos, elle l’aperçut la carcasse du colosse, et un sourire heureux apparut sur ses lèvres. Car des décharges joyeuses se logeaient dans ses veines à la fleur solaire. « Je suis désolée, je suis en retard. On a eu un gros accident, j’ai dû rester », les prunelles fixant la silhouette pour l’admirer, elle s’approcha près de lui. De ses bras fragiles, elle l’entoura pour poser ses mains froides sur son torse fabriqué dans le marbre. Et instinctivement, elle colla son corps éreinté contre le sien, l’étoile animée par l’envie de graviter près de lui. Les paupières closes le temps d’un battement de cœur, elle la remarqua la course frénétique du muscle cardiaque du chevalier des ténèbres. « Je suis là », douceur dans la voix, pour lui rappeler qu’elle était de retour. Pour lui. Pour eux. Mais le loup gigantesque de ses doigts puissants, il mit de la distance entre leurs deux êtres, et quand lui, il se retourna, elle la vit l’absence de lueur dans ses yeux. L’éclat disparu, percuté par une tempête destructrice. « Qu’est ce qui se passe ? », le regard levé vers lui, elle le contempla pour les découvrir les émotions dévastatrices habitant son âme. « Si c’est parce que je suis en retard, alors qu’on devait aller dîner, je suis désolée. », lui, le soldat de Satan, il les connaissait les engagements imposés par le serment éternel de guérisseur, et jamais, il ne les prononçait les mots accusateurs. Parce que la florentine, elle savait qu’il la comprenait cette passion inconditionnelle dans son liquide sanguin. « Si c’est pour autre chose, tu peux me le dire, je suis là », délicatement, la main caressa sa joue guerrière, pour que les maux de l’esprit, il puisse lui avouer. Elle, toutes les blessures, même les plus maléfiques, elle pouvait les guérir. Toutes les tornades, elle était prête à les affronter, parce que Nolan, il comptait. Lui, il comptait suffisamment pour que l’abandon, il soit impossible. Et pour que le soleil, il puisse continuer de briller, elle savait les combattre les démons. Tous les démons.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] JE NE SUIS PAS D'ACCORD, JE VEUX PAS Y REPONDRE Mais cette perfection quoi je suis pas prête clairement |
| | | Invité---------------------------------------- Invité
| | () Re: ▪ les perles du rp. Mar 22 Juin - 18:46 | | - Joséphine Astankova a écrit:
- Pourtant, il l'encercle de ses bras, Travis. Et si la fierté ne l'avait pas habité, elle aurait presque pu en pleurer. D'être ainsi enlacée, d'être ainsi protégée. Joséphine avait tendance à oublier ce que cela faisait d'être touchée. Autrement que pour être abusée. Les relents de son enfance esseulée étaient revenus la gifler avant qu'elle ne sente son corps se figer l'espace de quelques secondes. Jo restait pourtant accrochée à lui, s'effaçant sans rien dire dans ce refuge improvisé tandis qu'il la serrait un peu plus fort. Elle n'aurait pas su dire pourquoi cette étreinte la transperçait. Pourquoi sa gorge se nouait. Pourquoi ces illusions d'amour la tuaient. Comment autant de tendresse pouvait lui sembler si cruel ? Et surtout, pourquoi ne faisait-elle pas l'effort de le rassurer ? Il lui soufflait son importance à demi-mot. Il déposait en son âme des opportunités qu'elle n'osait pas attraper. Pas certaine de se relever, cette fois, si tout venait à se briser à ses pieds. Pas certaine de vouloir continuer. Et soudainement, Jo était tiraillée. Entre l'envie de tout détruire pour mieux disparaître et celle de simplement se laisser faire, éreintée par toutes les luttes qu'elle étouffait. Écrasée, aussi, par toute la fausseté dans laquelle elle s'était égarée.
- Joséphine Astankova a écrit:
- Il continue, le motard, constatant les blessures invisibles que leur procuraient leur attachement. Mais elle ne sait pas quoi faire de sa franchise, Joséphine. Elle qui pourtant aimait tant en manier l'incisivité. La confession ne lui échappe pas. Elle s'incruste au cœur du siège de ses émotions comme une balle. Ça la percute sans qu'elle n'ose pourtant le montrer mais la danseuse reste bloquée dans cet amas de confusions étouffées. Craintive à l'idée de s'engager. Apeurée à l'idée de ne pas savoir gérer une destinée moins vulgaire et corrosive que celle à laquelle elle s'est enchaînée. La douleur étant devenue comme une seringue d'héroïne à laquelle elle ne pouvait pas résister. « Et alors ? » dit-elle, plus froidement qu'elle ne l'avait souhaité. « Qu'est-ce qu'il faudrait faire selon toi ? Partir et tout effacer, comme si ça n'avait jamais existé ? » Elle feint l'innocence, la Russe. Elle ne ressent pas de honte à le mettre au pied du mur, à lui demander d'autres arguments. Jo s'interroge sur ce qu'il cherchait réellement, sur ce qu'il attend silencieusement. Peut-être qu'il est comme les autres dans le fond. « Sois un peu plus clair sur ce qu'est un mec de ton genre. » L'air de rien, Jo le défie, curieuse de comprendre ce que tout cela signifie.
TU CHERCHES A ME TUER?! Non mais t'as pas honte?! Ce rp my god!  |
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| | () Re: ▪ les perles du rp. Mar 22 Juin - 19:35 | | |
| | | Invité---------------------------------------- Invité
| | () Re: ▪ les perles du rp. Lun 28 Juin - 21:09 | | - Joséphine astankova a écrit:
- Ilias, pourtant, avait des chances de pouvoir se relever. Et jusque là, elle se promettait de lui rappeler sa force malgré la chute irréversible au sein de laquelle elle l'entraînait indiscutablement. Malgré les lueurs féeriques qui la narguaient continuellement, la ballerine avortée s'était habituée à l'opacité veloutée de l'ombre qui l'entourait. Elle était prête à absorber toute l'horreur du goudron qu'il n'était pas capable de cracher au quotidien. Joséphine ne fuirait pas face au néant qui rongeait l'impeccabilité des apparences qu'il entretenait. En don viscéral, elle s'offrait aux démons qui le tourmentaient avec l'espoir intime que ces élans de violence expulsés pourraient lui permettre de mieux respirer. Même si ce n'est que temporairement, instant éphémère qu'elle désirait toutefois lui accorder. Repos égoïste qu'il méritait bien plus qu'il ne le pensait.
- Joséphine astankova a écrit:
- « Je n'ai pas envie que tu te calmes si tu as envie de hurler. Je n'ai pas envie de remarquer tes mensonges et ta frustration. Parfois, la vérité est préférable aux illusions. Elle n'est pas plus douce mais elle sera toujours moins mensongère que les faux-semblants. » Elle préférait la franchise, Jo. Elle savait même apprécier le tranchant de certains mots, contrairement à la douceur sucrée de certaines facéties. Mais lorsque le loup s'interroge sur la combativité hargneuse au sein de laquelle elle se perdait, le regard magnétique de Noah était revenu planter ses crocs dans le myocarde éreinté. Et comme pour s'en préserver, ses phalanges vinrent s'égarer en caresses diffuses sur le visage du grand frère tourmenté. Ilias avait la beauté des hommes qui étaient prêts à se sacrifier. De ceux qui méritaient un océan de respect. Et sous la protection immuable qu'il lui accordait au-delà de ses refus réservés,
tu le sais déjà stéph mais cette réponse - Edouard Brown a écrit:
- prisonnier des prunelles protectrices. le brown tente d’ignorer le tambourinement à ses tempes - vicieux. d’ignorer l’espoir qui grandit en lui. fiore, je t’en prie. instinctivement, ses deux mains se séparent de celle de la Savelli et viennent se poser de part et d’autre du visage pétrifié de l’italienne. le temps s’arrête. sa gorge se serre. et tandis que leurs deux souffles s’apprivoisent, le brown vient délicatement poser un baiser sur le front de la tempête et la détaille de ses prunelles azurs. ma tempête qu'il souffle avant de reprendre. Heureux de te retrouver, fiore – je t’en prie, ne t’en vas pas. je t’en prie reste avec toi. n'envoie pas tout valser.
where is my heart? - Nolan stark a écrit:
- Le tourbillon incontrôlable des émotions s’empare de lui, le brisant petit à petit, comme l'enserrant dans un étau incontrôlable. Les bras de la princesse le ramenèrent à lui. Retour à la vie violent alors que l'acide brûlait sa gorge. Quelques instants, il profita de l'étreinte de celle qu’il aimait, la savourant comme si c'était la dernière. Son palpitant s’accélérant sous le coup de l’émotion, de la douleur vive qui allait éclater dans cette maison. « Je suis là » Elle l’était. Mais lui son esprit avait disparu, laissant place à une incompréhension noyer dans un tourbillon de sentiments incontrôlables. Alors ses mains se posèrent sur les siennes, doucement il les retira de son corps pour s’avancer d’un pas, pour y mettre de la distance entre lui et la princesse de son royaume.
et bien il est toujours pas là mon coeur. enfin si il est là, mais mort. |
| | | Invité---------------------------------------- Invité
| | () Re: ▪ les perles du rp. Mar 20 Juil - 16:50 | | - lyra mccormick a écrit:
- Elle posa sa main sur sa joue afin de le rapprocher d’elle pour réduire cette mince distance. Pour sauter par-dessus cette ligne invisible. Pour faire le bond. Pour que cela soit leur réalité, à nouveau et doucement, ses lèvres se posèrent sur les siennes. Longuement. Amoureusement. Afin de mettre une fin entre ce qu’elle désirait faire depuis des semaines, pour que ce ne soit plus une simple pensée. « Pas si je le fais en premier. » Qu’elle souffla à quelques centimètres de son visage, sourire aux lèvres comme si elle se trouvait sur un petit nuage. « Je n’ai pas oublié.. Je ne pourrais jamais oublier. » Parce qu’il avait été là, toutes ses années, de manière silencieuse, dans ses souvenirs précieux. Parce qu’il avait sa place particulière, logé près de son cœur.
on a un homme au sol. mort. |
| | | Invité---------------------------------------- Invité
| | () Re: ▪ les perles du rp. Mar 20 Juil - 16:51 | | Le Nono en moi est tellement heureux pour son brooooo Puis cette plume toujours quoi (et Doudou trop adorable ton message au-dessus, je fonds ) |
| | | Alison O'Callaghan---------------------------------------- - every year is getting shorter -  grow old with meposts : 1584
pseudo : S.U.L.L.Y.
id card : Mandy Moore (c) eternal lust
multinicks : cole (j. gyllenhaal) ♤ elliott (b. cooper) ♤ sophie (m. streep) ♤ noelia (t. palmer)
faceclaim :  age : 40 années qui se sont échappées, le sentiment de vouloir tout mettre sur pause et respirer, le temps d'un instant.
civil status : Un cœur pour toujours et à jamais dédié à son Maël, et la date du seize mai deux-mille-vingt-et-un gravée à l'intérieur de leurs alliances. Seize, à l'instar de l'âge qu'elle avait lorsqu'elle a croisé le regard de ce garçon qui retiendrait un battement du myocarde dans sa poitrine à chaque instant, et tout autant d'étincelles qui perleront ses prunelles jusqu'à la fin des temps.
past time : Kinésithérapeute – spécialisée dans la rééducation de blessures et traumatismes de guerres
address : #1273, north beach – elle l'a retrouvée, celle maison qu'elle a rêvée, aucune autre où elle ne se soit jamais à ce point sentie chez elle.
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faceclaim :  age : 25 ans, jeune fille qui se cherche sans se trouver et s'abandonne à l'insouciance de l'âge
civil status : Mariée à Caelan, ils filent le parfait bonheur.
past time : Diplômée en biophysique, elle s'est redirigée vers un cursus de kinésithérapie.
address : #131, mission district
nbre de mots : 1000-1500
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pronom perso : elle
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je les aime trop, torturés et horriblement beau même si si malsain (oh mince c'est ça que j'ai oublié le tw 
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(mais bon eilias tiens 
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