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 (andrew) we're just another cliché, but who cares anyway ?

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Maeve Townsend
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Maeve Townsend
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pseudo : Jamie.
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multinicks : Aucun.
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age : 38 ans, née le 7 juillet 1985.
civil status : Célibataire depuis peu, elle a rompu ses fiançailles à quelques semaines de son mariage après avoir enfin ouvert les yeux sur les tromperies de son ex-futur mari. Depuis, Maeve n'a toujours pas trouvé le courage de retirer la bague de son annulaire.
past time : Libraire sur les hauteurs de San Francisco, elle perpétue ses rêves professionnels en couchant sur le papier tout ce qui lui passe par la tête, de la poésie aux scripts, en passant par des nouvelles.
address : Un appartement petit – mais fonctionnel et, surtout, aménagé avec goût – au numéro 57 d'une des rues de Mission District. Elle y vit avec son chat, Mercutio, et ses dizaines et dizaines de plantes qui donnent à l'endroit un cachet de serre géante.
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age : 23 ans, née le 7 juillet 1985.
civil status : Célibataire, son manque de confiance en elle ne la rend pas la plus à l'aise autour des individus de la gente masculine. Pour autant, fleur bleue, elle multiplie les crushs et, parfois, s'engage dans des relations qui ne durent pas.
past time : En troisième année d'un Bachelor of Arts en Film & Media, elle déambule dans les couloirs de l'université des rêves plein la tête et une furieuse envie de devenir scénariste et/ou réalisatrice spécialisée dans les films d'animation.
address : Maeve a un appartement qu'elle partage avec d'autres étudiants sur le campus de Berkeley. L'ambiance est détendue, l'entraide est présente, et tout le monde s'affaire à lui faire sortir son nez de ses cahiers le vendredi soir.
présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
availability :

nbre de mots : Entre 500 et 1200, mais je m'adapte sans soucis ❤️
code couleur : Dialogues en #9d7273.
warning : Infidélité, décès, deuil, guerre, problèmes familiaux, désir de maternité, syndrome de l'imposteur, alcool, mention de suivi psychologique et d'une possible amnésie traumatique, maladie (concernant un enfant).
trigger : Violences animales, psychophobie, violences sur les personnes âgées.
pronom irl : Elle.
pronom perso : Elle.
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() (andrew) we're just another cliché, but who cares anyway ? Dim 28 Jan - 19:28
we're just another cliché,
but who cares anyway ?

@Maeve Townsend & @Andrew Harper


 Maeve est nerveuse.

Elle n'a aucune raison de l'être, pourtant. Dans le tote bag solidement accroché à son épaule, la rousse a sécurisé la boîte de chocolats obtenue auprès du plus grand chocolatier de la ville, boîte pour laquelle elle a quasiment dépensé une journée de salaire. Au milieu de la transaction, elle avait commencé à comprendre que le vendeur profitait de sa naïveté – et de ses connaissances limitées en la matière – pour lui proposer des chocolats systématiquement plus onéreux que les autres, sous prétexte d'un processus de fabrication encore plus élaboré. Maeve, bien sûr, n'avait pas eu le courage de s'en tenir à son plan de base : elle s'était contentée d'accepter toutes les propositions qu'on pouvait lui faire avec un hochement de tête, un léger sourire timide venant étirer ses lèvres du début jusqu'à la fin de son passage à la caisse. Ce n'était pas si grave, au fond : connaisseur comment il semblait l'être, il ne faisait nul doute qu'Andrew saurait apprécier les nuances gustatives que la libraire, elle, n'avait pas été en mesure de déceler.  

Craignant de gâcher quelque peu l'effet de surprise, Maeve n'a pas demandé au brun de confirmation de sa présence sur place, aujourd'hui. Elle s'est contentée de se fier à ce qu'il lui avait raconté vis à vis de son dévouement sans limites pour son restaurant, et était partie du principe que, même si elle était tombée sur un de ses jours de repos, il ne faisait nul doute qu'Andrew passerait tout de même un peu de son temps libre dans les environs. Maintenant qu'elle se trouve devant la porte close du restaurant, pourtant, la rousse commence légèrement à regretter de s'y être présentée sans y avoir été invitée au préalable. Après tout, ils étaient censés se voir le mercredi suivant : n'aurait-il pas été préférable d'attendre cette date, avant de lui rendre visite ? N'allait-il pas trouver sa démarche étrange, n'allait-elle pas le surprendre en plein milieu d'une journée de travail chargée et donc potentiellement stressante ? Au fond, ils ne se connaissaient pas tant que ça, quand on y songeait bien.

Si on y songeait plus longuement encore, il apparaissait évident que Maeve ne faisait simplement que de se chercher des excuses. En réalité, ils ont passé une grande partie de ces derniers jours à échanger à tout moment de la journée et, désormais, ils sont plus proches de l'amitié plutôt que d'un simple lien de deux connaissances liées par l'histoire de leur famille respective. Forte de cette certitude qui la rassure quelque peu, la main de la rousse s'approche plusieurs fois de la poignée, sans qu'elle ne trouve le courage d'achever son geste en ouvrant totalement la porte. Pourtant, Maeve a mis toutes les chances de son côté pour s'assurer qu'elle ne dérangerait pas Andrew en plein service : il est presque 14h30, et le rapide coup d'œil qu'elle a jeté au travers des grandes fenêtres qui donnent sur la rue ont achevé de lui confirmer qu'il ne semblait plus y avoir de clients, à l'intérieur du bâtiment.

C'était sans compter sur les lois de l'univers, probablement lassé d'assister à ses hésitations incessantes. Alors qu'elle s'apprête enfin à pénétrer à l'intérieur du restaurant, la porte s'ouvre brusquement, percutant au passage le visage de Maeve dans un "paf" significatif. Heureusement pour elle, la porte n'a pas été ouverte de manière trop vive et la douleur sourde du choc dure à peine quelques secondes, rapidement remplacée par la surprise de se retrouver nez à nez avec un cuisinier encore plus étonné de la voir ici. « Andrew ? Je... bonjour. Désolée, je n'aurais pas dû rester plantée derrière la porte, comme ça. » Maeve se frotte doucement le front, un peu honteuse. Privée de la sécurité et de la distance qu'une correspondance via un écran lui assurait, elle se sentait soudainement très intimidée de se retrouver face à un Andrew auquel la rousse avait pourtant confié un grand nombre de sujets qui lui pesaient trop lourdement sur le cœur. « J'espère que je ne te dérange pas ? Je n'ai pas osé entrer, au cas où... » Maeve laisse sa phrase en suspens, mais sa main droite désigne l'intérieur du restaurant d'un geste vague, comme pour signifier au brun qu'elle n'était pas certaine à cent pourcent que son service soit réellement fini. « Je ne vais pas te prendre trop de ton temps, c'est promis. Je suppose que tu as plein de choses à faire, mais je voulais t'offrir quelque chose. » Les joues un peu rouges, Maeve a soudainement la sensation tenace que son cadeau est un peu ridicule, mais elle se force à ne pas laisser cette impression prendre le dessus. Maintenant qu'elle se trouve en face d'Andrew, il est de toute manière trop tard pour reculer. Les mains tremblantes, elle s'empare de la boîte de chocolats et la tend au brun, accompagnée d'un sourire timide. « Ils sont au lait. Tu m'avais dit que tu aimais bien ça, alors... enfin, honnêtement, je n'y connais pas grand chose, mais le vendeur m'a dit qu'ils étaient très bons. » Elle se justifie probablement trop, pour un simple cadeau de courtoisie. Mais Maeve, entièrement plongée dans la quasi nécessité de s'excuser de tout, et surtout de sa présence, n'en a pas conscience. « Ce n'est pas grand chose, mais je voulais te remercier pour ces derniers jours. Tu m'as beaucoup écouté raconter mes histoires et, en plus, tu as pris le temps de me donner des conseils pertinents. Merci, Andrew. » Elle souffle un peu plus bas les mots qu'elle lui a adressé de nombreuses fois par messages, ces derniers temps. En face à face, ils semblent sonner plus sincères, encore. Bien entendu, Maeve se garde bien de lui préciser qu'elle continue à se sentir coupable, de lui avoir refusé un rendez-vous auquel il semblait pourtant tenir. Il avait eu l'air de comprendre ses raisons, cependant, et s'était montré suffisamment respectueux pour ne pas insister. Mais malgré tout, la rousse n'avait pas réussi à se défaire de ce sentiment tenace d'avoir agi égoïstement, un trait de caractère qui était pourtant à mille lieues de la définir, d'ordinaire. Pourtant, Maeve se savait dans son bon droit : elle ne devait rien à personne, et encore moins dans le domaine sentimental dans lequel elle continuait à se sentir totalement perdue, en témoigne la bague à son annulaire avec laquelle elle jouait nerveusement pour tenter d'apaiser quelque peu ses craintes. Mais... face à Andrew, c'était différent. Il le lui avait confirmé lui-même, au détour de leurs messages échangés : c'était un homme occupé, sans cesse par monts et par vaux, mais il était pourtant toujours parvenu à lui dégager du temps, ces derniers jours. Quitte à la soutenir durant ses nuits blanches, quitte à tirer un trait sur son sommeil qui, Maeve s'en doutait malgré ses protestations, devait lui être primordial pour gérer un restaurant au tel succès.

Oui. Face à Andrew, les choses étaient différentes. Pour autant, cela ne signifiait nullement que Maeve était en mesure de les définir plus facilement.

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Andrew Harper
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age : 39 ans, l'aube d'une nouvelle décennie prometteuse.
civil status : Veuf, il est en paix avec son deuil, mais il conserve son alliance comme un porte-bonheur.
past time : Ancien vétéran de la SEAL Navys, sa carrière militaire est derrière lui. Aujourd'hui, Andrew est chef de cuisine et propriétaire du "Le Café des Musées" qu'on peut retrouver dans la quartier Outer Sunset.
address : PACIFIC HEIGHTS, dans une belle et grande maison victorienne.
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() Re: (andrew) we're just another cliché, but who cares anyway ? Ven 9 Fév - 13:33

(we're just another cliché, but who cares anyway ?)

Family is a strange and beautiful gift [song] janvier 2024  @Maeve Townsend   

TRIGGER WARNING : //
Ces éléments sont précisément décrits dans le rp qui va suivre. Nous vous déconseillons donc fortement de lire ce rp si vous êtes sensibles à ces sujets.



Devant ma caisse, j’échangeais avec mes derniers clients du service méridien. Les trois autres tables restantes n’étaient là que pour profiter de l’aspect bistrot du restaurant. Un café ici, un éclair à la vanille là, bref, rien qui n’allait perturber le ménage en cuisine. Je discutais donc avec ce charmant couple, bien décidé à me remercier pour un aussi bon repas. Là où recevoir ce genre de retour me faisait grandement plaisir, j’étais paradoxalement impatient que cela cesse. Je jouais nerveusement mon alliance, comme pour espérer que le temps passe plus vite.  J’étais comme un gosse qui attendait d’être dans son droit de sortir son téléphone et guetter s’il avait reçu un message. Rien de plus bête que ça.

14h16 affiché sur mon écran, pas de notification de message. Malgré cela, aucune déception sur mon visage, bien au contraire. Je balayais rapidement mes échanges avec cette nouvelle rencontre —du moins pas vraiment si nouvelle que ça— et relire ses petites bulles me fit sourire. J’appréciais vraiment discuter avec Maeve. Probablement plus que de raison, plus que je n’y avais le droit. Mais les faits étaient là, j’appréciais chaque mot qu’elle pouvait m’envoyer. Je n’attendais rien de plus de sa part, respectant complètement sa réponse négative. Elle n’était pas prête, ne voulait pas de ça, et c’était très bien ainsi. Car, malgré ce qu’on pourrait penser, ce non voulait surtout dire bien pour moi que pour. Non, un non ne veut pas dire oui. Ce non, voulait surtout dire que j’étais prêt et que j’avais réussi à poser cette fatidique question : celle d’un rendez-vous romantique. En soit, la réponse que la rousse eut cet effet d’électrochoc. C’était non, mais ça voulait dire que, sans m’en rendre compte, j’avais réussi à être prêt à vivre quelque chose de nouveau. Ou du moins, que l’idée même de rencontrer quelqu’un était envisageable. Une première depuis le décès de James. Alors même si rien n’allait se faire avec ma douce amie, sans s’en rendre compte, elle était parvenue à m’ouvrir les yeux et me donner une force que je ne pensais plus avoir. Et cette chose-là, indescriptible, valait tous les non sur terre.

14h20 affiché sur l’horloge de la cuisine. Les derniers membres de mon équipe raclait le sol. Une brève inspection : tout était nickel. Quelques plaisanteries avec eux plus tard, je pouvais partir du restaurant l’esprit tranquille. De toute façon, je n’étais pas très loin, au besoin… Et probablement que je serais resté si je n’étais pas aussi fatigué. Ha, les nuits blanches à discuter de tout et de rien. C’est exceptionnel, et fatiguant. Passant par mon bureau pour récupérer le nécessaire, je ne pouvais m’empêcher d’échanger avec mes employés, encore et encore, retardant involontairement mon départ. En voyant même que ma nouvelle serveuse peinait avec la machine à café —il faut dire que ce modèle italien demande une certaine maitrise—, je ne pouvais pas m’empêcher de l’aider, retardant encore de trois minutes mon départ. Même fatigué, c’était plus fort que moi, j’aimais trainer —ou devrais-je dire pavaner— dans mon restaurant. Après tout, il s’agissait de ma plus grande fierté, bien devant mes médailles de soldat.

14h33 sur ma montre, veste sur le dos, j’allais enfin partir. Un dernier au revoir à cette même employée et j’ouvris la porte… Et de cogner quelqu’un avec. Ça m’apprendra à ouvrir une porte sans regarder devant moi. Merde ! J’ouvris cet dernière complètement avant d’observer un peu mieux la victime de ce malheureux incident.

—Ma… Maeve ?! Tu vas bien ? soufflais-je en m’approchant pour voir son visage et un potentiel hématome. Quelle surprise, qu’est-ce que tu viens faire ici ?

Et pour une surprise, c’en était une. Je l’étais, et dans le bon sens du terme. Malgré ce qu’il venait de se passer, je ne pouvais pas m’empêcher de sourire bêtement. Elle était encore plus douce que dans mes souvenirs. Je pouffais de rire, ensuite.

—Non, tu ne me dérange jamais, voyons ! disais-je dans un soupir bienveillant.

M’offrir quelque chose ? Cette annonce me laissait sans voix. Un cadeau ? Mais en quel honneur ? Nombreuses étaient les questions à ce sujet, mais je restais silencieux, préférant l’écouter, puis admirer la boite en question. J’attrapais cette dernière avec douceur, reconnaissant très vite l’endroit où elle était allée.

—Maeve, merci infiniment. Mais… Ne reste pas là, viens ! On va déguster tout ça ensemble ! hors de question que je mange des chocolats aussi luxueux égoïstement seul, affirmais-je en ouvrant la porte.

Une fois à l’intérieur, je lui indiquais de me suivre. Une table, un peu en retrait mais profitant d’un soleil magnifique, même en janvier. Je posais la boite délicatement sur la table, non sans une excitation visible sur le visage.

—Installe-toi ! Est-ce que tu veux boire quelque chose ? Un moqua, un cappuccino, chocolat chaud ou une bière ? J’ai aussi des pâtisseries, si tu as un creux. C’est moi qui t’invite.  Des chocolats pareils, ce n’est pas donné.

Une fois ce qu’elle voulait —ou non ! — je filais au bar préparer tout ça, non sans étonner mon équipe de voir que hantais encore les lieux. Enfin, non, à vrai dire, ce n’était pas présence qui les étonnait, plus le fait que je ne sois pas seul… Pour une fois. Rien n’avait été dit, mais je voyais bien le regard complice qu’ils me jetaient. Des sales gosses, mais des amours avant tout. Le tout ne fut pas long à préparer et rapidement, je déposais cette commande improvisée devant mon amie. Pour moi, c'était un lait chaud, chantilly en prime. Une fois assis, je pris la parole.

—Je connais bien ce roublard de chocolatier… C’est mon préféré, même si c’est un filou qui a des prix démesurés ! Et vu ce que tu as pris… Maeve, c’est un cadeau hyper onéreux, tu n’étais pas obligée. Si je discute avec toi, c’est parce que… Parce que j’y prends du plaisir. Tu m’aides beaucoup, plus que tu ne l’imagines. Tu n’as rien à me devoir, ou je-ne-sais-quoi. Ta présence me suffit pour me rendre heureux, tu sais. Allez, on va déguster tout ça au nom de nous deux, d’accord ?

Et sans un mot de plus, la boite fut ouverte, et je proposais à Maeve de se servir, avant de prendre un bonbon chocolat au lait, coco de Martinique et rhum blanc. Je connaissais si bien cette boutique que je les reconnaissais à l’œil !

—Tu n’as pas juste pris ma kryptonite, là, t’as carrément pris LA kryptonite ultime, disais-je grossièrement avec mon chocolat en bouche. Merci infiniment, t’es trop adorable.




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