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 where do i see me in ten years ? with you ☾ caubrey

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outer sunset

Cole Davies
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Cole Davies
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pseudo : S.U.L.L.Y.
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multinicks : alison (m. moore) ♤ elliott (b. cooper) ♤ sophie (m. streep) ♤ noelia (t. palmer)
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age : 40 années envolées, le besoin de se reconstruire, constamment pour ne pas sombrer.
civil status : En couple avec Aubrey, son amour de toujours qu'il a retrouvée, père d'un petit garçon, Jude, qui entre dans l'adolescence.
past time : Architecte – spécialisé dans l'élaboration de gratte-ciels
address : #71, north beach
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id card : Jacob Elordi (c) labxnair
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age : 25 ans, l'ambition dans les veines, la rage de s'en sortir et de devenir plus fort.
civil status : Célibataire, il pense encore souvent à elle, bien qu'elle ne soit plus à ses côtés depuis de nombreux mois. Il commence à côtoyer Naomi de temps à autres, mais c'est encore très flou, il ne sait pas s'il veut se lancer dans une vraie relation.
past time : Étudiant en architecture, études reprises en master aux USA.
address : Somewhere in New York
présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
nbre de mots : 1000-1500
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warning : accident de voiture, rééducation, caractère sanguin
pronom irl : elle
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() where do i see me in ten years ? with you ☾ caubrey Dim 12 Nov - 16:49

( where do i see me in ten years ? with you )
« And there's a place that I've dreamed of. Where I can free my mind. I hear the sounds of the season and lose all sense of time. The summer air by the sea side. The way it fills our lungs. The fire burns in the night sky. This life will keep us young, yeah keep us young. And we will sleep by the ocean. Our hearts will move with the tide and we will wake in the morning to see the sun paint the sky. » july 2023, forest hill - house tou sale @aubrey cavendish



TRIGGER WARNING : normalement aucun
Ces éléments sont précisément décrits dans le rp qui va suivre. Nous vous déconseillons donc fortement de lire ce rp si vous êtes particulièrement sensibles à ce sujet.

( the house ) Il tremble toujours avant d’oser ce genre de chose, Cole. Geste romantique, un tantinet maladroit peut-être. Jamais sûr de lui. Mais il est là, devant l’entrée principale de l’hôpital à attendre la fin du shift de sa petite-amie. Il est un peu plus de seize heures, presque comme prévu, quand la Cavendish passe les portes coulissantes automatiques. Le brun manifeste sa présence, la surprenant. « Hello, Sweetheart. » Il l’accueille, attire sa taille vers lui et vient déposer un baiser sur ses lèvres. « Tu as passé une bonne journée ? » demande-t-il, comme si de rien n’était. Comme s’il était habituel qu’il soit là pour la récupérer et la ramener chez eux. Il faut face à son regard circonspect. Les interrogations ne se font pas attendre. « Je t’emmène. Je ne dirai rien, mais je te prie d’accepter de me suivre. » dit-il, une malice dans la voix. Il adore la surprendre. Il déteste le faire parce que ça le met toujours lui dans des états, mais voir le visage qu’elle a en ce moment, ça n’a pas de prix. Il n’a pas besoin de préciser qu’elle est entre de bonnes mains, elle le sait. Il ne sourirait pas autant s’il ne s’agissait pas d’une bonne surprise. Du moins, il l’espère. Nouveau sourire adressé à sa belle, léger rire qui s’échappe. Il passe son bras autour de son épaule et l’emmène vers le parking.

Quelques minutes plus tard, la voiture de l’Anglais se gare dans le quartier de Forest Hill. Non loin de Outer Sunset mais bien éloigné de North Beach, où ils vivent actuellement. La pancarte ‘à vendre’ devant la maison ne laisse pas de place au suspens. Cole coupe le contact et se tourne vers Aubrey. « Je dois avouer que ça fait un petit moment que j’observe le marché. » Parfois, Aubrey, il ne faut pas trop la laisser réfléchir et la mettre devant le fait accompli. Quant à lui, il a appris qu’il valait mieux annoncer les choses directement plutôt que d’y aller par quatre chemin, autrement, la Cavendish se fait mille et une idées. Il en a fait les frais il y a deux ans alors qu’il souhaitait simplement lui proposer d’emménager avec lui et qu’elle a pensé qu’il allait lui faire sa demande. Une idée qui a elle aussi toujours été là, mais qu’il n’a pas encore entrepris. Un jour. Chaque chose en son temps. Même si auprès d’Aubrey, il souhaiterait réaliser tous ses souhaits en même temps.  « Qu’est-ce que tu en dis ? » demande-t-il, toisant sa réaction.  « On entre pour visiter ? » la main sur la poignée de la portière, il attend son approbation avant de quitter le véhicule. Fier, un sourire qui transperce son visage, Cole voit déjà son avenir avec l’Anglaise. Que ce soit dans cette maison ou dans une autre. Peu importe. Ce qui compte, c’est qu’ils soient ensemble. Comme à l’époque où ils avaient emménagé dans ce petit appartement à Londres. L’architecte lève le regard vers la maison. Ils sont bien loin de ce qu’ils vivaient à Londres, à présent, et c’est tout ce qu’il a toujours espéré pouvoir offrir à sa Aubrey.

Les idées du Davies vont en réalité bien plus loin que la ‘simple’ envie d’investir dans l’immobilier avec Aubrey et d’aménager leur cocon. Car ce qu’il y voit, lui, à travers toutes les pièces qu’ils visitent, c’est la famille qu’ils construiront qui y grandira jour après jour. Des bambins dans chaque coin. Deux qui courent, un qui fait ses devoirs, l’autre qui pique quelque chose dans le frigo. Il les y voit. Jude et les autres. Oh, s’il osait, il ne cesserait d’en faire part à sa douce. Mais s’il osait, il sait aussi qu’elle prendrait peur face à tant d’ardeur et qu’elle trouverait mille et une raison de rejeter l’idée. De toute façon, il faut bien commencer par un. Et rien que ça, ce n’est pas une mince affaire à amener.

L’agent immobilier s’efface pour laisser le couple faire un second tour sans qu’il ne soit dans leurs pattes et accueille déjà les prochains potentiels acheteurs. Aux yeux de l’architecte, il y a un étage qui ne prend pas encore bien fonction à son esprit, mis à part le large espace de buanderie plus que bien aménagé. Il est tombé amoureux du petit patio attenant à la cuisine. Un espace cosy où il se voit servir le petit déjeuner à Aubrey et Jude le week-end, ou n’importe quel jour où ils en prendraient le temps et que la météo le leur permettra. Les fenêtres de la salle à manger donnent un certain côté anglais à la maison. Clin d’œil à Londres qui a vu naitre leur histoire. Quant aux fenêtres cintrées qui donnent sur le séjour en inondant le lieu de lumière, faisant presque oublier le côté sombre du plafond boisé, il sait qu’ils ne trouveront ça nulle part ailleurs. Le cadre est plutôt vert et agréable. Pas de vis-à-vis direct avec les voisins. La cuisine est à remettre à leur goût, ainsi que les salles de bain. Cette maison ne comporte pas beaucoup de défauts. Une bonne première. Plait-elle seulement à celle dont l’avis importe le plus ? « Qu’est-ce que tu en penses ? » demande-t-il, s’étant arrêté dans la troisième chambre de l’étage. Ils sont bien loin des gratte-ciels qu’il imagine et fait construire, mais il est vrai qu’il est très aisé pour lui de se projeter. Si c’est plus difficile pour Aubrey, il saura lui partager sa vision des choses. 

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Aubrey Cavendish
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Aubrey Cavendish
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age : la jolie blonde a vu le jour, il y a trente sept ans au sein du célèbre St Mary's Hospital à Londres, comme sa fratrie avant elle - tout comme les membres de la famille royale aussi, but who care, right ?
civil status : (en couple) Célibataire pendant de longues années, capable de vivre seule, tout en espérant avoir quelqu'un à ses côtés pour la soutenir. Elle a retrouvé la paix auprès de lui, son amour de toujours.
past time : (médecin) Un an plus tôt, elle venait de terminer sa residency. Elle a réellement trouver sa place au sein du service de médecine physique et de réhabilitation de l’hôpital de San Francisco.
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age : (vingt-deux ans) Elle est à peine entrée dans l'âge de l'indépendance internationale, mais elle se sent comme une enfant après sa naissance. Elle reprends sa vie de zéro.
civil status : (célibataire) Depuis un an, elle ne réalise toujours pas qu'il n'est et ne sera plus là, à ses côtés. Et pourtant, tout est de sa faute, elle ne peut s'en prendre qu'à elle-même.
past time : ancienne étudiante en fac de médecine, actuellement serveuse au Bubba Gump de Fisherman's Wharf.
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présentation : présentation
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() Re: where do i see me in ten years ? with you ☾ caubrey Mer 31 Jan - 21:03

(where do i see me in ten years ? with you)
« Man, oh man, you're my best friend. I scream it to the nothingness. There ain't nothing that I need. Well, hot and heavy, pumpkin pie. Chocolate candy, Jesus Christ. Ain't nothing please me more than you. Oh, home, let me come home. Home is wherever I'm with you. Oh, home, let me come home. Home is wherever I'm with you. » july 2023, forest hill - house for sale  @Cole Davies



Journée calme, comme il y en avait peu au sein d’un hôpital. La Cavendish avait pu s’extirper de son service en temps et en heure, aujourd’hui. L’esprit complètement ailleurs, elle avait franchi les portes de l’établissement de santé avec le regard dans le vague. Mille et une chose l’attendait chez elle et elle ne retrouverait Cole qu’en fin de journée, ce dernier étant encore au travail. Pourtant, ce fut bien lui, en chair et en os, qui matérialisa devant elle. « Hello, Sweetheart. » Surprise et bouche bée, elle se laisse attirer dans son étreinte. Elle goûte à ses lèvres avec d’innombrables questions. La raison de sa présence devait être importante s’il se présentait à la fin de sa journée de travail, sans même l'avoir avertie. « Tu as passé une bonne journée ? » « Oui … et toi ? », répondit-il sur un ton prudent, dans l’attente d’une explication. Explication qui se fait attendre, un peu plus longtemps encore. Pensées qui s’agitent nerveusement dans les rouages de son cerveau. L’allure décontractée de l’homme de sa vie lui permet de ne pas céder à l’angoisse. « Je t’emmène. Je ne dirai rien, mais je te prie d’accepter de me suivre. », ajoute-t-il et elle fit la moue. Il savait qu’elle le bombarderait de questions s’il lui en donnait l’occasion. « Tu sais que tu as une chance incroyable que je sorte à l’heure ? », se contenta-t-elle de demander avec un ton rieur. Elle n’eut pas de mal à l’imaginer, là sur la devanture de l'hôpital, à poireauter et à regarder sa montre, tout en faisant les cent pas. Ces images lui permettaient de ne pas se projeter plus en avant sur ce qui pouvait bien l’attendre. Elle avait conscience d’avoir la fâcheuse manie de se faire tout un tas d’idées lorsqu’il s’agissait d’une surprise. Il le savait pertinemment aussi. L’oeil inquisiteur, elle se laisse emporter par le bras sur ses épaules, heureuse au creux de ce geste attentionné.

La trajet ne lui donne pas plus d’indices. Par chance, ce dernier ne se fait pas long. Les interrogations de la britannique se taisent, lorsqu'ils se garent devant une maison à l’allure élégante. « Je dois avouer que ça fait un petit moment que j’observe le marché. » La voix de l’architecte la sortie de son observation silencieuse. Lentement, elle se tourna vers lui. Il n’y avait pas d’erreur possible, cette fois-ci. La maison qui se dressait devant eux, il l’avait repérée pour eux. Elle, elle s’était contentée de leur appartement et de leur petite vie, un tant soit peu rodée. Elle n’avait été cherchée plus loin que le bout de son nez, toujours paralysée par les grandes avancées de la vie. Même si cela la rendait heureuse, elle en était certaine. « Qu’est-ce que tu en dis ? » Il la pousse à se dévoiler, comme il sait si bien le faire. En proie à son mutisme, et surtout à la surprise habitant ses membres, elle se fait l’effet d’un poisson hors de l’eau. « On entre pour visiter ? », insiste t-il avec douceur, prêt à quitter le véhicule pour entrer dans cette demeure magnifique. « Je suis désolée, je me sens complètement à côté de la plaque. », avoue t-elle, le visage légèrement coupable. Elle passe une main dans ses cheveux avec un sourire gêné. « Heureusement que tu es là, sinon je suis pas sure que l’on avancerait dans des projets. », déclare t-elle en se penchant doucement vers lui. Elle déposa un baiser sur ses lippes, simple sans fioritures. Si dans leurs jeunes années, elle aurait été celle qui aurait manœuvrer une avancée dans leur chemin à deux, il semblerait que les rôles aient été inversés depuis leurs retrouvailles. Comme si, dans son esprit, le status quo pourrait aider à ne rien briser. À maintenir intact tout ce qu’elle chérissait. « Allons-y. », souffla t-elle en hochant la tête, avant de descendre de la voiture.

Elle immisce sa main au creux de celle du Davies, déambulant dans les diverses pièces de la maison. En prenant, un jour après l’autre, elle ne s’était plus laissé au rêve d’acquérir une habitation comme celle-ci. Songe inaccessible, qu’elle avait mis de côté sans plus ouvrir la porte du possible. Même avec son premier amour à ses côtés. Tant de choses s’étaient mises sur leur parcours que le calme - même si relatif - actuel laissait une sensation étrange sur l’épiderme de la jeune femme. Aujourd’hui était l’occasion d’ouvrir, de nouveau, ces tiroirs d’images heureuses et fantasmées. Un passé qu’ils avaient abandonné derrière eux. Pourtant, ils en avaient parlés. De ces métiers qu’ils se voyaient pratiquer. D’une maison qui accueillerait leurs retrouvailles chaque soir. Mais aussi, de cette union qu’ils franchiraient, peut-être, un jour. Ou de cette famille qu’ils pourraient former. Le premier tour de la maison s’était passé sans encombres, mais le second, plus intimiste, lui fit monter les larmes aux yeux. « Qu’est-ce que tu en penses ? », lui demanda t-il en s’arrêtant dans la troisième chambre. Pour reculer l’échéance et masquer son émoi, elle se glissa entre ses bras pour l’étreindre contre elle. Inspirant longuement, elle s’incita au calme pour ne pas gâcher cette si jolie surprise. « C’est une très belle maison. », répondit-elle au bout de quelques instants avant de se redresser pour glisser ses prunelles dans les siennes. « Je suis un peu émotive, excuse moi. », continue t-elle, sans véritablement répondre à la question de celui qui partageait sa vie. « L’allure de la maison, cette avancée, ça m’a ramené à nos conversations que l’on avait plus jeune, à Londres. Quand j’étais celle qui te mettait des projets d’avenirs dans la tête. », avoue t-elle, un peu moqueuse envers elle-même. « Je ne veux pas que tu penses que je traîne les pieds ou quoi. Je suis émue et heureuse de ton initiative, de partager toutes ces étapes de ma vie avec toi. Faut que je dépasse ma peur de tout faire capoter en un claquement de doigts. », déclare t-elle avec verve. Elle ne savait pas si elle donnait véritablement de clarté sur ce qui la secouait, mais elle faisait de son mieux. « C’est une très belle belle maison de famille, tu en penses quoi toi ? », lui demande t-elle en lui retournant sa question, un sourire un peu plus malicieux sur ses lèvres, mais les émotions au fond des yeux.
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