gabriel lennox-baxter ▪ home is where the heart is

gabriel lennox-baxter

38yo | sapeur pompier | en couple
ft. Cody Christian // Nathaniel Buzolic

Afin de bien comprendre Gabriel, il est nécessaire de comprendre sa famille. Cet homme qui clame son indépendance depuis sa tendre enfance reste ce garçon pour qui la famille est un tout et une nécessité. Famille de sang, de cœur, il vit pour ses êtres qui constituent son âme Gabriel. La famille est pour lui l’aspect le plus sacré de sa vie et il sera difficile de lui faire changer d’opinion sur ce point. (Ab) Arthur Lennox-Baxter, homme de pouvoir, homme stratégique et de guerre, Arthur Lennox-Baxter est également un père aimant et présent. Un héros qu’il a toujours positionné comme une divinité, Gabriel. Ce héros dont il n’arrivera jamais à la cheville, ce défi qu’il doit à jamais surmonter. Dans son admiration pour le paternel, Gabriel cache cette peur qu’il a face à cet homme. Peur de ne pas être assez bien, de ne pas être assez bon, de ne jamais arriver à la cheville du Général. Pas si facile de grandir dans l’ombre de ce héros national, ce mari et père aimant, ce militaire et ce cadre qu’il doit conserver malgré le diable au corps… (Em) Jessica Lennox-Baxter, mère parfaite, elle est la première femme de la vie de Gabriel. Celle qui lui a appris à dire merci, celle qui lui a appris l’ordre plus que son militaire de père mais également son premier public, les premiers rires qu’il ait reçus. Pour que cette femme soit heureuse, il serait capable de décrocher la lune Gabriel. Pour qu’elle esquisse un sourire, il ferait n’importe quoi. Heureusement pour lui, il suffit de se pointer sur le pas de sa porte pour combler la mère de famille d’un bonheur intense. S’il a pu avoir honte de cette relation à l’adolescence, aujourd’hui, il est reconnaissant envers cette maman, envers celle qu’il voit comme étant le véritable superhéros de la famille Lennox-Baxter. (Ach) Un, deux, trois. C’est à trois qu’ils sont arrivés au monde et c’est à trois qu’ils en sortiront. Quatrième portée de la famille, les triplets se sont révélés être une véritable surprise pour les parents. Déjà affublés de trois bambins, le plus âgé venant d’atteindre les sept ans, ils ont doublé d’effectif en claquant simplement des doigts (c’est ce que vous dira le père, la mère refuse toujours l’affirmation du « juste en claquant des doigts »). Le trio angélique, surnom ne leur allant pas pour un sou, ils portent pourtant ses prénoms d’anges, de paix et de divinités. Alors que la vie les a créés de la même pièce, ils sont à eux trois, les six faces d’un dé. Gamins peu les rassemblaient même si le lien qui les unissait était plus fort que n’importe lequel. Le timide, l’artiste et le casse burne. Toujours dans les mauvais coups ensembles, ils se sont toutefois séparés à l’arrivée de l’adolescence. Étrange mélange d’hormone, vaste demande sociétale, débilité concertée, ils ont construit leurs mondes séparément, sans pour autant s’oublier. C’est lorsque la porte de la maison 210 outer street se refermait qu’ils redevenaient les trois mousquetaires. Quand les regards extérieurs n’étaient plus là, le monde était enfin à eux et plus rien ne comptait. La mascarade a duré, la mascarade a évolué jusqu’à ce que touchant le ciel, s’approchant du soleil, Gabriel dû comprendre qu’Icare n’était pas qu’un mythe et que sans ses ailes, sans eux, il n’était plus rien. La chute difficile, la chute impossible, la douleur s’est enfouie mais toujours bien présente, la culpabilité définitivement marquée au fer sur son cœur, à jamais sur son poignet. (Mi) Gabriel, 4ème, 5ème ou 6ème enfant des huit monstres de la famille, il agit parfaitement comme l’enfant du milieu. Ne supporte pas l’autorité de ses ainés, il la fait parfaitement subir aux deux derniers. S’affirmer entre ses frères et sœurs n’est jamais simple, le faire quand vous avez sept autres personnes (la huitième compte pas, elle est née trop tard) en concurrence, est un exploit. Toujours un mot à dire, une blague à faire, Gabriel a agi comme le pitre du village dès sa plus tendre enfance. Enfant parfait aux yeux extérieurs, il n’était pas mauvais à l’école bien que ses notes n’aient jamais égalé celles d’Ezekiel, il avait un goût pour l’art même si les cordes de sa guitare n’ont jamais fait d’ombre au talent de Talia, c’est avec un ballon dans les mains qu’il devenait l’enfant prodige. Pris dans une éducation légèrement militaire, il connait les ficelles du parfait gentleman, c’est toutefois son caractère qui l’a toujours différencié. Il savait ne pas être le plus intelligent (plus par fainéantise que par manque de jugeote), il savait ne pas être le plus doué (réellement parce ses dessins n’ont pas évolué depuis ses six ans), il avait pour lui son ton joueur, sa rigueur et sa volonté de fer qu’il a toujours mis à l’honneur pour tenter de se faire cette place qu’il avait peur de perdre jusqu’à ce qu’il comprenne qu’elle n’avait rien d’important. Elle ne valait pas le coup si les autres n’était pas en sécurité. Protecteur avec tous, seul un Lennox-Baxter (ou affilié bien validé) a le droit de se moquer d’eux, seuls eux peuvent se critiquer, autrement ce n’est pas un mais huit personnes a qui l’on doit explication… Pensant être dans le droit chemin un long moment, il était enfin vu comme Gabriel et non comme un des Lennox-Baxter, il rit aujourd’hui de cette bêtise car la chute fût difficile. Il aurait pourtant voulu que la chute soit la sienne… (Kalla) Il l’a rencontré en voyage. C’est son sourire qui lui a plu au premier regard. Ce rire, cette joie qui la traversée alors que leurs regards se portaient sur les joyaux de la cité de Pétra, Jordanie. Ce voyage débuté seul, il le finira en débutant un nouveau. Les pays, ils les ont vu, connu, parcouru pourtant c’est d’un accord commun qu’ils ont voulu rentrer. Rentrer dans cette ville qu’ils avaient en commun sans pour autant s’y être déjà croisé. Ils sont rentrés, il est retourné à l’armée mais c’est une bague dans la poche et l’amour dans le cœur qu’il est revenu pour lui demander d’être la seule et l’unique jusqu’à la fin de ses jours. Elle a dit oui. Pour le rendre l’homme le plus heureux au monde. Elle a dit oui et l’a suivi dans les plus folles de ses envies. « Gab… je crois que j’ai perdu les eaux… joyeux anniversaire ? » Sistine a fait de lui le mari et le père qu’il a toujours voulu être. Femme de sa vie, c’est ce qu’il pensait. C’est ainsi qu’il voyait les choses, jusqu’à ce que l’éloignement devienne difficile. Un bébé à la maison, l’absence du militaire n’était plus la même. Mais ils étaient plus fort que tout, non ? Alors qu’elle lui annonce un deuxième enfant, une princesse, il se retrouve à remonter dans son oiseau de fer. Passion devenue prison, cette vérité sera véritable pour son métier et son mariage. Prisonnier de son corps, esprit incapable de commander son corps, c’est incapable qu’il la voit disparaitre alors que les pleurs de Zoë ne cessent plus et que Cali pose déjà les questions qu’il ne devrait pas… Cœur brisé, esprit de fer, c’est en se relevant qu’il vaincra, car si l’on tombe sept fois, il faut se relever huit… (Lev) « [color:79b5=#à099FF]On a un appel, un chantier qui s’est écrasé sur une personne. » « Toute la ville s'est effondrée, non ? On a plus de paramédic… » … « Ca va aller, on va prendre soin de vous. » Ses doigts entrelacent ceux fins, délicats mais inconnus de cette femme sur le brancard. Le choc, elle ne doit se rappeler de rien, mais son corps se rappellera de tout. … « C’est qu’ils sont nombreux à défiler dans cette chambre, il faut que je prenne un ticket ? » Ce sourire. Il avait raison, il est bien magnifique. Il ne devrait pas être là, il le sait, mais il s’inquiétait pour cette étrangère, pour cette femme qui dieu seul sait comment s’est retrouvée sous un chantier. Il s’inquiétait qu’elle soit seule ou mal accompagnée. Il s’inquiétait tout simplement. « Je suis désolé si j’arrive mal, je voulais juste m’assurer que vous allez bien… mieux. » Quitter le chevet de cette inconnue fut l'épreuve la plus difficile. La revoir la plus plaisante, l'appeler maintenant sa femme, la plus incroyable, la voir au quotidien prêt de ses enfants et mettre au monde deux nouveaux petits êtres, bien que n'étant pas de son sang, la plus magique. Evaline Keynes, cette âme soeur auquel il ne croyait plus, cette femme qu'il s'est juré de ne jamais décevoir...

Gabriel est ce garçon sans trop de filtre. Cet homme qui peut paraitre le gendre parfait devant vos parents (fayot est le bon terme) mais qui sera incapable de se retenir de parler une fois la porte refermée. ✧ Aussi fidèle en amour qu’en amitié, il vous donnera tout si vous faites partie de sa vie, sa confiance, son cœur, toute son âme. Rare sont les personnes qui par contre ont retrouvé sa confiance après l’avoir perdu. ✧ Calihan et Zoë, ses enfants, sa raison de vivre. Véritable papa ours, il est extrêmement proche de sa progéniture et ne les utilisera jamais pour draguer ou quoi que ce soit, bien au contraire. Très discret sur sa vie privée, sauf à lui demander directement, il ne vous dira pas nécessairement qu’il a des enfants. Une évidence, ils font partis de lui mais il refuse de faire entrer n’importe qui dans leur monde. Papa et pompier à temps plein, il compte énormément sur sa famille pour l’aider dans cette tâche et ne les remerciera jamais assez d’avoir toujours été là pour lui. Même dans sa décision de se battre pour leur garde. ✧ Tout l’intrigue et un rien le passionne. Hyperactif sur les bords, il est partout à la fois tout en prenant le temps de faire les choses. Il s’est toutefois un peu calmé depuis son accident et son divorce. Il bat tout de même toutes les mères du coin dans les coiffures tendances pour Zoë et il ne manque jamais d’activités pour Cali ou lui-même. Il est cependant aussi très heureux sur le canapé à lire un bouquin ou regarder un film. ✧ Il a eu un accident d’avion qui lui a couté ses jambes pendant neuf mois. Traces de ce passage de nombreuses cicatrices se dessinent sur son dos, il n’en parle que rarement et assume encore que moyennement les marques de son handicap passé. ✧ Habitude et peur de reperdre ses moyens, il passe un temps impressionnant à faire du sport. Son métier qui demande une certaine consistance physique, lui demande également cette rigueur.

2002 le téléphone sonne. Le patriarche appel de l’hôpital. Tout va bien mais Ez a été blessé. Il ne veut rien dire. Il ne veut même l’avouer à lui, lui son frère jumeau, ce triplet avec qui il a partagé tout jusqu’au ventre de sa mère. Seulement, il l’a entendu Gab. Ce n’est pas nouveau, ce n’est pas une chute, c’est bien plus que cela et il compte bien rectifier quelques choses. « Qui ? Qui lui a fait ça ? !» Il voit rouge le capitaine, il ne voit plus clair que la colère. Il aurait pu y passer, tout ça parce que lui n’a pas fait attention. Il aurait dû voir les choses venir, il aurait dû voir son frère se renfermer, se taire sur certains sujets, certaines personnes. Dire que certains se disaient amis. Sa mâchoire fait mal, ses phalanges ouvertes et ses côtes douloureuses rendent les déplacements complexes mais il s’en fiche. Ils n’ont même pas eu ce qu’ils méritaient mais il a le temps. L’année n’est pas finie et leurs vies va devenir un enfer. Expulsion pour violence. Ecole militaire, c’est la fin. Comment pourra-t-il veiller sur Ez alors ? Le paternel dit qu’il s’en occupe, mais s’il s’y prend de la même manière que depuis le début ? Le débat impossible, le sac sur le dos, c’est ailleurs que le lycée se finira… 2003 L’air se fait rare dans ses poumons, les pensées se font ailleurs et le besoin de liberté n’a jamais été aussi grand. Le second lieutenant ne tient plus en place et décolle pour l’Afrique. Appareil à la main et sac su le dos, il sillonne pendant un an les routes du monde, y rencontrant des personnalités diverses et variées, en y rencontrant celle avec qui il voudra faire sa vie. Jeunes, amoureux, c’est ensemble qu’ils rentrent, c’est à ses côtés qu’il reprendra les études dans la même école qui lui aura semblé prison une année plus tôt. Objectif : le ciel. 2007 La fierté. Ce sentiment qui se lit dans le regard d’Arthur Lennox-Baxter. Ce sentiment qu’il aura mis 23 ans à trouver. Ce ne sont pas les insignes qui prouvent son appartenance à la brigade de vol de l’air force qui lui ont arraché ce sourire mais bien cette église accueillant l’union de ce jour. Il a le cœur qui bat, Gab, fort, peut être trop. Elle a dit oui et ils signent ensemble l’ouverture d’un nouveau chapitre, celui d’une éternité à deux quoi qu’il arrive… 26 octobre 2014 « Vous voulez sortir le bébé ? » La panique et l’envie dans le regard. « Et si je le blesse ?! » Le sourire du praticien et le cri du premier né. La larme à l’œil, la fierté dans le cœur, la boule au ventre. Son nouveau nom est papa et il fera tout pour que ce petit être en soit fier. Cali la rivière, Calihan la tête brillante, son nouveau moteur, sa nouvelle raison de vivre, son nouveau centre et son plus grand repère. Son fils. 2017 Le bruit est sourd, la douleur irradie ses sens, le sang s’écoule entre ses lèvres et ses paupières se ferment. Ce sont les ballotements du brancard improvisés qui l’ont réveillé d’une inconscience infinie, plus de 24heures après la chute. Mort ? Il n’en sait rien, il en a presque peur. Peur parce qu’il ne reverra plus jamais sa famille, ne connaitra jamais ce bébé qui doit pointer le bout de son nez prochainement. Peur parce qu’il n’est pas prêt et qu’il ne sent plus rien. Ses jambes ne bougent plus et elles ne le feront plus. 4 jours, 96 heures avant de voir le premier visage américain, avant de faire savoir à sa famille qu’il était en vie. 1440 minutes pour entendre qu’il ne remarchera peut-être jamais. 86400 secondes pour apprendre qu’il a loupé les trois premiers jours de la vie de sa fille. 2018 « Elle va revenir, ne t’inquiète pas Gab.! » « Je ne m’inquiète pas. Qu’elle tente. Qu’elle revienne, elle n’aura plus rien.! » Partie comme s’il était possible d’abandonner enfants et mari comme on quitte sa paire de jeans favoris. Sans un regard, sans un détour. La porte s’est fermée sur cette silhouette qu’il a tant aimé, elle s’est claquée sur celle qui lui a offert les plus beaux cadeaux de sa vie, abattue sur un bonheur oublié, écrasée sur leur mariage détruit. Le handicap, les enfants, s’en était peut-être trop pour elle, elle n’était plus assez pour lui. Depuis longtemps, ils n’étaient plus ces amoureux transits d’Afrique, plus un mais bien deux personnes devenues peut-être trop distinctes. Elle est partie et il ne reviendra pas. janvier 2019 « Bienvenu à la station 13 ! » Un claquement dans la paume et il fait partie des leurs. Un an qu’il remarche, neuf mois à s’entrainer pour à nouveau être capable de faire ce qu’il faut, ce qu’il faut pour venir en aide aux autres sans être un véritable danger. Bien entendu qu’il ne retrouvera pas la forme d’antan mais celle-ci suffira pour cela, même si elle ne lui suffit pas… janvier 2020 Des mois ont passé depuis le tremblement de terre de la ville. Des mois que son regard a croisé le sien. Le monde entier lui a dit que ce sentiment passerait, mais il sait lui, que ce n'est pas le cas. Il n'a plus 15 ans Gabriel, mais a l'impression de ressentir cela pour la première fois. Il a été amoureux de sa femme, véritablement. Mais ce sentiment est différent, plus fort encore. Là, ici, 24h après leur premier baiser, elle enceinte face à ses deux bambins, il se le promet le Lennox-Baxter : Evaline Keynes sera un jour sa femme, sa perle et son bonheur le plus parfait. Ils pourront rire comme ils le veulent, mais il en est dingue amoureux et le reste du monde ne fait que pale figure à ses côtés. avril 2020 Des pleurs, de la joie, des cris, des larmes. Elles ne sont pas de lui, biologiquement, mais il tient entre ses bras, ce que la nature fait de plus beau. Entouré de son fils et sa fille, son regard se pose sur les deux nouvelles recrues de la famille. Celles qu'il appelle ses filles, comme s'il avait ce droit. Celles qu'il chérira à vie comme tel, au même niveau que les deux ainés. S'il doit les partager, c'est pour qu'elles aient encore plus d'amour dans leur vie, car les filles de cette femme, ne mérite que ça, un amour pur du monde entier. Des bijoux auquel il veut apporter une vie aussi belle que celle qu'il a promis à Cali et Zoë, le jour de leur naissance...31 octobre 2020 Halloween. Il est le plus heureux des hommes Gabriel. Evaline est enceinte à nouveau et cette fois, l'enfant est de eux deux. Ils vont être plus nombreux mais il est au comble du bonheur en partant travailler. Un appel. Un feu de forêt impliquant une bonne partie des habitants de la ville partis faire un Bootcamp avec les militaires. C'est en sauvant sa meilleure amie qu'il sera heurté par un arbre réveillant toutes les blessures de son dos. Coma. Hopital. Evaline perd l'enfant avec la pression, un cauchemar qui débute comme si la pièce se rejouait, les personnages étant juste légèrement différents... novembre 2020 à septembre 2021 La rééducation, les jours sans fin, le plafond comme meilleur ami. Il est dur Gabriel, envers lui, mais de plus en plus avec les autres. Si les hauts et les bas sont son quotidien, il ne supporte plus d'être à terre et continue de se battre pour marcher à nouveau. Marche qu'il maitrise maintenant, sachant pertinement qu'il ne pourra plus faire ce qu'il aime par la suite... juin 2021 Les mots sont durs et explosent avec Evaline. Elle s'en va, prendre l'air, faire les courses, juste un instant et lui craque. Appel à Flora, il s'en suivra une discussion à coeur ouvert, la première réelle depuis le divorce. Il comprend, il débute le pardon. Ils ont mal, mais ils peuvent le faire, pour eux, pour les enfants. Si jamais ils ne redeviendront un couple, ils pourront travailler main dans la main pour leurs enfants et lui, peut tenter de sauver son couple. Septembre 2021 Il est debout et les pronostiques sont bons quant au fait qu'il y restera s'il ne tente pas le diable. Il doit abandonner les sports à sensation et à fort impact mais il sait un chose, il peut au moins agir. La première action en ce sens sera de poser un genou à terre pour qu'enfin, la femme de sa vie devienne sienne aux yeux du monde. Elle dit oui, Evaline et il est entier Gabriel. octobre 2021 L'annonce du mariage aux parents, toujours un grand moment, émouvant et pourtant. Le père d'Evie fait un AVC. Les pompiers, les urgences, le souvenir qui laisse une trace, fait mal, comment être heureux de cette annonce ? Ils l'oublient presque les deux amants, passant aux chevets du père et l'aide de la mère pendant des semaines durant. décembre 2021 Il ne peut le retenir Gabriel, il est ainsi. Alors qu'ils se retrouvent au marché de Noël comme deux ans plus tôt, il voit l'occasion de tout refaire et bien. A nouveau, il pose un genou au sol et offre une deuxième demande à sa belle, celle qu'il voudra être réelle. Finissant dans un sourire et une remarque. Le mariage ne sera pas le seul évènement à annoncer. Parce que le bonheur n'arrive jamais seul et que cette fois-ci ils sont prêt, prêt à devenir une famille de 7 et non plus de 6. 12 aout 2022 Elie est né. Un petit garçon pour clôturer, pour le moment la famille Keynes-Lennox-Baxter. Un mariage à venir, une famille à couver, il est le plus heureux des hommes Gabriel. 31 octobre 2022 C'est la dernière fois qu'il met les pieds dans un Halloween organisé par la ville. Plus jamais. L'horreur s'est à nouveau joué sous ses yeux, mais ses proches sont sains et sauf, c'est tout ce qui compte, non ?

rps en cours
what if
[outer sunset // 2007] i found love where it wasn't supposed to be w/@evaline keynes

passé-présent-futur
[North Beach // dec. 2021] the story of a lifetime w/@evaline keynes
[pac. heights // fév 2022 we are one forever w/ @Talia Lennox-Baxter
[OS // 2032] they grow up so fast w/@evaline keynes

rps terminés
[hospital // oct 2014] someone die when a baby cry w/@"james mclarren"
[fin dist // jan 2020] by the way, i'm wearing the smile you gave me. w/@evaline keynes
[outer s // jan 2020] from now on, my secret are yours [...] w/@evaline keynes
[outer s. // jan 2020] Just put your heart in my hands [...] w/@evaline keynes
[pacific heights // janv 2020] be happy and know that i'm [...] w/@"roxane hamilton"
[hospital // mars 2020] watch you be a mother w/@evaline keynes
[OS // juin 2020] it must be nice up above the lights w/@"nathaniel lennox-baxter"
[OS // juin 2020] home sweet home w/lennox-baxter family
[OS // sep 2020] school fair w/@"Marlene Adler-Blake" & @"nathaniel lennox-baxter"
[OS // oct 2020] you were my everything w/@"flora perosi"
[home // mai 2021 it hurts to be human w/ @Evaline Keynes

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Tellement de liens et pourtant aucun Montgomery dans la liste... Il serait temps d'y remédier non ?

@Max Montgomery ohlalala désolée je n'avais pas vu ton message !

tellement une grande famille surtout gabriel lennox-baxter ▪ home is where the heart is 2046353020

est-ce que tu aurais une envie, une idée ?
(désolée flemme de changer de perso gabriel lennox-baxter ▪ home is where the heart is 2046353020

)

() Re: gabriel lennox-baxter ▪ home is where the heart is

» because home is where the heart is ❤︎
» (3m/4f) famille lennox-baxter.
» ezekiel lennox-baxter ▪ underground
» ▪ sweet home louisiana
» come back home, they need you + NICHOLAS

gabriel lennox-baxter ▪ home is where the heart is

take me home tonight

may we meet again

makes me wonder

take me home tonight

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makes me wonder