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 the party never ends + juvie

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Jules Politzer
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faceclaim : the party never ends + juvie 79603a12acc10d7f2ede6fcf91e4b77c66106f8a
age : (( forty one )) 41 ans qu'elle foule les terres de la planète bleue, des souvenirs pleins la tête, des paysages remplissant son esprit mais surtout l'expérience qui pointe le bout de son nez, la sagesse qui commence à venir sans que pourtant, l'âme d'enfance ne puisse laisser sa place
civil status : (( single )) jamais l'attache amoureuse a été sa recherche, elle est toujours présente, là, elle s'amuse et vie au jour le jour, jusqu'à ce que ses ailes brûles sous un nouveau feu...
past time : (( surgeon & sexologist )) exactement chirurgienne en gynécologie avec une double spécialisation reconstruction génitale (transformation et suite à des dommages, notamment dû au viol…) et en sexologie, elle est partout Jules, là où elle peut aider : l'hopital, des cabinets mais également des associations. Ce n'est pas l'argent qui la dirige mais bien la passion de ce qu'elle fait, la croyance de son action, et l'importance qu'elle y voit
address : (( 68 pacific heights )) appartement sur les hauteurs de San Francisco, elle passe toutefois beaucoup de son temps au 90 Lombard Street chez ses parents. L'appartement plus loft est proche de l'hôpital et c'est bien tout ce qui l'importe
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() the party never ends + juvie Jeu 3 Aoû - 21:44

( the party never ends )
« Dale a tu cuerpo alegría Macarena, Que tu cuerpo es pa' darle alegría y cosa buena. Dale a tu cuerpo alegría, Macarena. Hey Macarena, ay
»
(song) octobre 2007 - Commissariat   @Evaline Keynes



(outfit) Vacillante, elle se laisse porter par l’agent de police jusqu’à la cellule. Titubant légèrement, elle se reprend contre le banc et en voyant son amie en face d’elle, explose de rire, sans pouvoir retenir les tintements de ses cordes vocales. « Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu être un gangster.» Venu tout droit du film Les Affranchis, elle n’était pas certaine que la blague ferait rire son amie, mais elle tentait comme elle le pouvait. Après tout, le but était de lui donner le sourire et même si tout cela l’a faisait un peu rire, il était bien probable que personne ne soit de son avis, sauf peut-être grâce à l’ensemble des boissons consommées dans la soirée.

Une heure plus tôt
« Je vous promet qu’on ne fait rien de mal monsieur l’agent, on peut totalement rentrer à la maison. » Cela ne faisait pas de doute, la maison étant au bout de la rue. Pourtant, il faut croire que tituber sur la voie publique et surtout danser la macarena sur la route directement face à la voiture des deux policiers, n’était peut-être pas une bonne idée. L’alcool se sentant parfaitement à l’haleine, elle n’avait trop pu contredire l’agent. Le fou rire aux « chuuuut » appuyés d’Evaline n’aidaient pas non plus. Elle savait pourtant, se tenir, Jules, mais ce soir, elle n’avait qu’une envie, s’amuser. Elle ne voulait qu’écouter ses envies et à cet instant, devenir délinquante paraissait amusant. Cela le sera probablement bien moins lorsque son regard croisera celui de sa mère le lendemain, mais pour l’heure, elle ne trouve que le moyen de tenter d’amadouer l’homme de loi par un clin d’œil appuyé suivi d’un baiser dans les airs ce qui le fait agir automatiquement, posant les menottes sur ses poings. « On aurait pourtant pu vraiment s’amuser. » Oh elle le sait, que dans d’autres circonstances, cet homme aurait pu flancher mais pas devant sa collègue, pas en service, il fait trop droit, trop sage et c’est cela qu’elle vient chercher. « En cellule, toutes les deux, une nuit au poste vous fera réfléchir à boire sur la voie publique. » Elle lève les yeux au ciel et se laisse faire, hochant les épaules face à Evaline, dans un faux désolé qu’elle ne peut vraiment assumer.

Comme si un troupeau investissait son cerveau, elle se tient les tempes en ouvrant les yeux un peu plus grands pour faire passer la douleur. Elle n’était encore jamais venue dans un tel endroit Jules. Elle la grande gueule, toujours à faire le pitre, n’était jamais encore allée jusqu’à la prison, ou plutôt le passage en dégrisement. Il fallait l’avouer, elle s’en voulait d’avoir fait subir cela à son amie, mais ne serait-ce pas un souvenir dont on se souvient à jamais ? Une histoire que l’on ressortira dans les Noël d’ici une dizaine d’années. Mise en tailleur sur le banc, elle joue avec une mèche de ses cheveux avant de ne plus pouvoir tenir en place. Elle pourrait s’excuser, mais pas de suite, pour le moment, elle doit surtout maintenir son rôle et continuer la soirée, même si elles ne sont plus sur la terrasse de ses parents. « Contrôle d’alcoolémie, vous arrivez à tenir debout, un bras sous la jambe droite et le pouce sur votre nez ? » Ton sérieux, elle rit encore totalement amochée par les effluves des boissons mais aussi probablement d’autres substances. Ce n’est pas beau à voir, mais n’est-ce pas cela, les joies de la jeunesse, le festival de la vie, tout ce qu’elle a à vous offrir autre que les horreurs du monde qui nous entoure ? Toujours stable dans son assise, elle sourit en gardant le regard ancré sur la demoiselle avec elle. « Je t’aime Keynes, tu le sais ça ? » Moment émotion mais elle l’assume totalement, ce côté fleur bleu qui surgit souvent après le dixième verre et souvent la preuve que la descente arrive mais durera encore quelques temps…

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Evaline Keynes
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age : trente huit ans.
civil status : (divorcée) Et si la fracture de son mariage a été difficile pour elle, la vie semble vouloir apaiser son cœur dans cette épreuve. Parce que Gabriel a fait de sa vie, un roman nouveau et lumineux. Il a recollé les morceaux de son cœur avec un soin sans égal. Et le cœur de la jeune femme, il bat bien trop vite et bien trop fort pour lui. Peu important les épreuves de l'existence qu'ils vivent cote à cote.
past time : (secrétaire pour les O'Callaghan) Elle exerce depuis seize ans, bientôt dix-sept ans, au sein de la même société de construction.
address : (778) outer sunset, san francisco
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age : (vingt et deux ans) L'indépendance a sonné. Pourtant, elle n'a pas encore trouvé l'opportunité pour s'expatrier de chez ses parents.
civil status : (en couple) Son cœur ne bat que pour le seul et unique amour de sa vie, il appartient à Maël, son héro, son ami, son amant. Et alors qu'elle l'a laissé partir pour le front, elle tente d'étouffer ses peurs comme elle le peut, le temps qu'il lui revienne.
past time : (secrétaire) Débutante au sein d'une entreprise de construction, au service du père de Maël. Elle s'épanouit dans son travail, même si personne ne comprends l'intérêt qu'elle y porte.
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() Re: the party never ends + juvie Sam 5 Aoû - 11:01

(the party never ends)
Everybody, everybody. Let's get into it, get stupid (come on). Get retarded (come on), get retarded (up in here). Let's get it started. Let's get it started (up in here). Let's get it started. Let's get it started (up in here). song October 2007, Police Station @Jules Politzer



(outfit)Voile légèrement trouble au niveau de ses prunelles, elle analysait encore comment elle avait bien pu arriver dans cette cellule, la Keynes. Comme une carie qui apparaît sans crier gare, elle ne paraissait pas à sa place sur le banc de la cellule de la station de police de San Francisco. Tout comme son amie face à elle. « Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu être un gangster.», s’exclama la brune dans un trait d’humour qui atteignit les lippes de la fille de militaire. Moment éphémère, mais sourire tout de même décoché. Dans un soupir, elle tenta de masquer son amusement. Ce dernier, encore présent, devait sans doute être dû au taux d’alcool encore logé dans le sang de la secrétaire. Et dire que sa mère avait été réticente quant au fait de la laisser partir ce soir !

Before the party
« Où est-ce que tu vas comme ça ? Repas de famille ce soir, jeune fille ! » La voix de la matriarche Keynes résonna dans les tympans de sa fille. Un plat fumant trônait sur la table de la salle à manger, prenant toute la largeur de cette dernière. Son frère était déjà attablé comme s’il n’avait pas mangé depuis quinze jours.  La brune haussa les sourcils, une moue ennuyée s’épanouissant sur sa peau de porcelaine et en maudissant sa mère de la rappeler à l’ordre de la sorte. « Je t’avais prévenue que je passais la soirée chez les Politzer. Désolé m’man, je peux pas rester. », s’excusa-t-elle avec tout le calme dont elle était capable. Elle avait conscience que sa mère avait encore du mal à voir sa petite fille grandir et que les parents de sa nouvelle amie ne lui plaisait pas plus que cela. Dans l’esprit de la mère de famille, on pouvait parler d’un festival de stéréotypes aussi farfelus les uns que les autres lorsqu’elle évoquait Jules et ses parents - ce qui restait rare parce qu’Evaline souhaitait garder son petit jardin secret. Elle décrivit un arc de cercle en contournant les chaises de la cuisine pour venir déposer un baiser sur la joue de sa génitrice. Elle ne demanda pas son reste avant de détaler comme un lapin. « Ne rentre pas trop tard ! », entendit-elle en refermant la porte rapidement et en traversant la terrasse au pas de course. Elle avait hâte de pouvoir trouver son chez-elle.

«Je vous promet qu’on ne fait rien de mal monsieur l’agent, on peut totalement rentrer à la maison. » Jules et Evaline n'avaient plus une once de sobriété dans leurs veines. Et pourtant, la Politzer cherchait encore à raisonner avec l’agent qui avait stoppé leurs âneries au milieu de la rue. La Keynes tentaient de calmer les dires de son amie en lui administrant des chuuuut à répétition, contenant à grand peine ses propres larmes dûes à l’hilarité ambiante. « On aurait pourtant pu vraiment s’amuser. » L’étudiante n’avait plus aucune limite, semblait-il et la jeune femme tenta de lui faire les gros yeux, même si elle était loin d’être convaincante. « En cellule, toutes les deux, une nuit au poste vous fera réfléchir à boire sur la voie publique. », annonça l’homme en uniforme en face d’elles. « Mais … ! », voulut-t-elle objecter, mais elle fut interrompue par son incapacité à tenir droite. Se tordant la cheville en s’avançant vers la voiture de police, elle s’écrasa contre le capot du véhicule avec la grâce d’un troupeau d’éléphants. Elle sentit ses joues s’enflammer comme si par la force de l’habitude, son corps se souvenait encore de ses réactions automatiques. Comme la honte. Cependant, cela ne dura qu’une seconde avant qu’elle ne termine sur la banquette arrière, hilare, derrière la grille que l’on aperçoit seulement dans les films.

« Contrôle d’alcoolémie, vous arrivez à tenir debout, un bras sous la jambe droite et le pouce sur votre nez ? » Même au fin fond d’une cellule de dégrisement, elle ne perdait pas sa ligne de mire, la Politzer. Cette dernière, assise en tailleur semblait avoir plus d’un tour dans son sac pour continuer la soirée qu’elles avaient entamée chez les parents de cette dernière. La secrétaire aurait voulu avoir son microphone pour pouvoir l’enregistrer et rire encore longtemps de ces péripéties partagées. « Je t’aime Keynes, tu le sais ça ? », lâcha la brunette en la prenant de court. « C’est à moi que tu parles ? », répondit-elle en imitant lamentablement Robert De Niro dans Taxi Driver. Bien entendu, elle ne s’y était pas attendue et elle aurait voulu être capable de réagir autrement à cette déclaration. Elle avait plus l’habitude d’être la fleur bleue du groupe que le réceptacle d’une attention comme celle-ci. « Arrête, tu vas me faire pleurer. », s’exclama-t-elle avant de se lever - et avant de tituber maladroitement - pour la rejoindre et la prendre dans ses bras. Aux côtés de la future médecin, son cœur récemment passé au broyeur s’apaisait. Comme s’il y avait encore de l’espoir, finalement. « Moi aussi, tu sais. », chuchota-t-elle, la voix tremblante d’émotions. Elle était touchée - et sans doute dans un brouillard alcoolisé épais. « Mes parents vont me tuer. », continua-t-elle en riant à moitié, humour conservé pour un petit temps encore.

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() Re: the party never ends + juvie Sam 2 Déc - 17:16

( the party never ends )
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(outfit) La soirée a pris un nouveau tournant, celui auquel elle ne s’attendait pas et surtout là où jamais elle aurait souhaité voir son amie. Si Jules Politzer en prison n’était une surprise pour personne, Evaline Keynes en cellule de dégrisement aller surprendre le monde entier. Peut-être qu’ils ont raison les parents de la secrétaire, elle a une mauvaise influence sur leur fille, mais n’est-ce pas cela qui lui permet d’avoir encore la force de se lever le matin ? Elle tente de faire descendre l’atmosphère, de garder le sourire et pourtant, en croisant le regard de son amie, elle se repasse tous les instants qui les ont amenés ici et elle ne peut s’empêcher de dire ce qu’elle pense Jules. Elle ne peut retenir les mots d’un amour saint, d’un amour simple et complètement dénoué de sous-entendu. Différentes au plus grand niveau, elles ont fini par devenir amies et pour rien au monde, elle n’échangerait tous les moments vécus avec la Keynes. « C’est à moi que tu parles ?» L’imitation est plutôt juste même si très incohérente avec la voix de la jeune secrétaire, ce qui arrache un sourire à l’étudiante en médecine. Elle ne pourra donc jamais accepter de recevoir ce genre de sentiment convenablement ? Il lui faudra du temps, c’est une certitude, mais elle sait au fond d’elle, qu’un jour elle pourra de nouveau le faire Evaline, et avec le même sourire pétillant qui finit par s’afficher sur son visage à cet instant. Pourtant, la Politzer fait oui de la tête, totalement sérieuse dans ces propos. «  Arrête, tu vas me faire pleurer.» Elle hausse les épaules la future chirurgienne, ce n’est pas bien grave, elle a le droit de laisser sortir ses émotions de cette manière, pleurer n'est qu’un signe de force pour elle, la force d’être soit et de ressentir. Dans un acte presque théâtrale, elle tente de la rejoindre en laissant de l’autre côté de la cellule sa dignité sous le regard doux mais rieur de la fille du monde. Elle vient entourer son corps de ses bras, acceptant volontiers le câlin qu’elle lui offre. «  Moi aussi, tu sais. » Oui, elle le sait, ou elle s’en doute tout du moins, mais cela fait toujours du bien à entendre et d’en être sur. Même si pour elle rien n’aurait changé, ce petit bout de femme reste une personne qui l’a marqué à tout jamais, sans trop savoir comment ni pourquoi. Déposant ses lèvres sur son front, elle la prend comme une petite sœur la Keynes, comme celle sur qui elle devra toujours veiller mais qui sera aussi toujours là pour elle. « Mes parents vont me tuer.» Cristallin, le rire de Jules vient faire vibrer les barreaux de leur cellule. Si les siens allaient certainement rapidement faire un sermon parce qu’ils le doivent, ceux d’Evie iront loin, très loin entre inquiétude, et image, entre colère et incompréhension. Elle fait oui de la tête. « Je te proposerais bien de ne jamais leur dire, mais avoue que tu n’arriveras pas à leur mentir sur ce point ? » Car elle a bien été élevé la jeune femme, elle est droite, militaire, toujours à faire ce qui est juste. « On peut juste demander à mes parents de nous sortir de là, ne rien dire à personne ou bien s’accorder sur une super histoire ! » Parce que les histoires, elle en avait toujours à revendre Jules, toujours assez pour se sortir de toutes les situations, même juste celles de faire rire la population autour d’elle, ou partir dans les rêves. « Par exemple, tu es allée sur la route, uniquement pour sauver un chien errant, malheureusement le policier était là et il n’a fait souffler que moi et nous a embarqué toutes les deux. » Elle fait la choqué comme si l’histoire avait vraiment été celle-ci. De toute manière, foutu pour foutu auprès des parents de son amie, elle n’avait presque plus rien à perdre. « Tant qu’ils ne t’interdisent pas de me voir… » Elle tire la langue et sourit, avant de déposer un doux regard sur la jolie jeune femme. « Au pire, tu mettras sur le dos du roux, il le mérite, et sinon tu leur rappelles que tu es majeure et capable de t’occuper de toi parce qu’ils ont bien fait leur job, juste tu as fait un écart. » Tel un petit ange, elle dessine au-dessus du crâne de la Keynes une auréole lui allant à la perfection.  


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() Re: the party never ends + juvie Sam 2 Déc - 22:06

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Il n’y avait pas de question à se poser sur le sujet, la Keynes se souviendrait longtemps de cette soirée. Elle pourrait même mettre sa main au feu que la Politzer trouverait le moyen de l’aborder dans son discours, si elle venait à se marier un jour. Et même si ce jour-là, elle lui ferait les gros yeux ou la moue, mais elle n’en aurait pas honte. C’était une expérience de vie vécue aux côtés de celle qui l’aidait à maintenir sa tête hors de l’eau. Et avec le taux d’alcool excessif dans son sang et son naturel déjà bien sentimental, la fille de militaire ne se fit pas prier pour laisser ses émotions répondre à son amie. Qui aurait pu croire que Jules deviendrait si importante aux yeux de la secrétaire ? Leur relation était haute en couleurs, à l’image de leur première rencontre, il fallait le dire. Au grand damne des parents de la petite brune qui se cramponne à son amie, malgré l’anxiété qui frétille dans son cerveau embrumé. Le rire de la liberté incarnée la secoue avant qu’elle ne se redresse pour poser sa joue contre son épaule.  « Je te proposerais bien de ne jamais leur dire, mais avoue que tu n’arriveras pas à leur mentir sur ce point ? », la provoque-t-elle, malicieuse. La jeune femme fit la moue en soupirant. Elle n’avait pas tort. Et la Keynes ne savait pas pourquoi elle était munie d’une affliction comme celle-ci.  « Faut croire que je suis un véritable livre ouvert …  », lâche-t-elle dans un souffle incrédule. Elle sentait déjà le regard inquisiteur, voire incendiaire, de ses parents sur son visage et cela lui tordit l’estomac. Ou bien était-ce l’effet de l’alcool ?  Sans oublier, les yeux déçus d’Asher, s’il savait. Ou bien d’Oliver qui l’accuserait de ne pas l’avoir emmené avec elle. Pourquoi se souciait-elle tant de l’opinion de sa famille ? Cela finissait par devenir un poids sur ses épaules. Il lui fallait toujours qu’elle soit telle qu’on l’attendait. Pour le peu que cela lui avait servi, à quoi bon ? « On peut juste demander à mes parents de nous sortir de là, ne rien dire à personne ou bien s’accorder sur une super histoire ! », proposa Jules, prête à établir un alibi en béton - ou bien un peu bancal. Son amie observa son visage avec un sourire rieur sur ses traits. « Par exemple, tu es allée sur la route, uniquement pour sauver un chien errant, malheureusement le policier était là et il n’a fait souffler que moi et nous a embarqué toutes les deux. », continua-t-elle et la Keynes haussa un sourcil amusé. Elle avait été élevée par une tripotée de militaires et si elle leur servait cette excuse, elle savait qu’elle serait interrogée en bonne et due forme avant qu’ils ne se tournent vers le policier pour une explication sur cette injuste arrestation. Puis, le pot-aux-roses serait forcément découvert. Autant se faire passer un savon maintenant, cela serait plus vite terminé. Elle aurait moins honte aussi. « Tu sais très bien que cette histoire ne ferait que rendre la situation plus complexe. », répondit Evaline en souriant. « Tant qu’ils ne t’interdisent pas de me voir… », dit-elle avant de lui tirer la langue. Savait-elle qu’elle était la seule personne pour laquelle elle serait capable de faire le mur ? Même Maël n’avait pas eu l’occasion de prouver cette théorie. « Qu’ils essaient pour voir. », grogna-t-elle en guise d’avertissement à ses géniteurs qui étaient encore au chaud dans leurs lits ou bien en train de veiller parce que leur petite fille n’était pas rentrée de soirée. « Au pire, tu mettras sur le dos du roux, il le mérite, et sinon tu leur rappelles que tu es majeure et capable de t’occuper de toi parce qu’ils ont bien fait leur job, juste tu as fait un écart. » Elle retint un rire avant de lever les yeux au ciel. « S’il peut servir à quelque chose de positif ce soir, ce serait chouette. » Versons dans le dramatique, non ? Etais-ce nécessaire de le diaboliser de la sorte ? Elle penchait vers le oui, pour le moment. Peut-être que le temps guérirait ses blessures. En tout cas, elle l’espérait. Pour l’instant, elle espérait fortement que l’alcool et la présence de Jules l’aident à anesthésier la douleur. « Un ange est censé être parfait et je ne le suis pas petite maline. », lance-t-elle avant de lui tirer la langue, à son tour tandis que son amie lui dessinait une auréole imaginaire au-dessus du crâne. « Ils vont me voir comme ça, ce soir. », déclare-t-elle en imitant le rire d’un petit diable et en collant ses index de part et d’autre de son front pour faire office de cornes.  

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age : (( forty one )) 41 ans qu'elle foule les terres de la planète bleue, des souvenirs pleins la tête, des paysages remplissant son esprit mais surtout l'expérience qui pointe le bout de son nez, la sagesse qui commence à venir sans que pourtant, l'âme d'enfance ne puisse laisser sa place
civil status : (( single )) jamais l'attache amoureuse a été sa recherche, elle est toujours présente, là, elle s'amuse et vie au jour le jour, jusqu'à ce que ses ailes brûles sous un nouveau feu...
past time : (( surgeon & sexologist )) exactement chirurgienne en gynécologie avec une double spécialisation reconstruction génitale (transformation et suite à des dommages, notamment dû au viol…) et en sexologie, elle est partout Jules, là où elle peut aider : l'hopital, des cabinets mais également des associations. Ce n'est pas l'argent qui la dirige mais bien la passion de ce qu'elle fait, la croyance de son action, et l'importance qu'elle y voit
address : (( 68 pacific heights )) appartement sur les hauteurs de San Francisco, elle passe toutefois beaucoup de son temps au 90 Lombard Street chez ses parents. L'appartement plus loft est proche de l'hôpital et c'est bien tout ce qui l'importe
the party never ends + juvie Ee37de169f55af06f02be7d0df56d6a6e6dc70a1
id card : ella hunt + ecstaticruby
faceclaim : the party never ends + juvie 826d58269915b72121340f31e927f5aac24aca0c
age : (( twenty six ))
civil status : (( happily single ))
past time : (( medical intern ))
address : (( 90 lombard street ))
présentation : life is never easy
availability : free

nbre de mots : entre 800 et 2000 mots en temps normal
code couleur : #cf0a1d
warning : viol, drogue, alcool, homophobie, transphobie vécue par procuration, ...
pronom irl : she/her
pronom perso : she/her
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() Re: the party never ends + juvie Lun 22 Jan - 21:14

( the party never ends )
« Dale a tu cuerpo alegría Macarena, Que tu cuerpo es pa' darle alegría y cosa buena. Dale a tu cuerpo alegría, Macarena. Hey Macarena, ay
»
(song) octobre 2007 - Commissariat   @Evaline Keynes



(outfit) « Faut croire que je suis un véritable livre ouvert … » Pour le commun des mortels elle ne devait pas l’être Evaline, mais pour la Politzer elle était même un livre d’images. Facile à comprendre et pourtant avec pleins d’interprétations possibles. Elle était ce kaléidoscope de possible qui pourtant l’ignore tellement. La Keynes est un bijou trop longtemps mis sous pression pour entrer dans un cadre dans lequel elle ne se retrouve pas toujours. Bien entendu, elle est ce qu’elle a appris, elle rêve du rêve américain, de l’homme, la maison à la barrière avec les enfants qui vont avec, mais c’est ce qui fait son charme. Ce qui fait d’elle un être totalement unique. Gueule d’ange, comportement exemplaire, rêve de monsieur et madame tout le monde, mais un caractère et une personnalité qui ne cesse de surprendre et à l’ouverture de tous les possibles. Elle est tout cela et bien plus encore la secrétaire et Jules souhaiterait qu’elle le voit, qu’elle se voit comme elle le fait. Parce que si une des deux est extraordinaire, contrairement aux apparences, c’est bien cette gamine qui est en train de se morfondre sur les potentielles remontrances injustes de ses parents, non celle qui se contrefiche de ce qu’il se passera, sachant parfaitement qu’elle s’en sortira très bien. Levant les yeux au ciel pourtant, elle continue comme si de rien était Jules, fait comme si la phrase n’avait pas d’importance, mais elle le note parfaitement dans son esprit pour faire rentrer dans cette petite tête la vérité, mais plus tard, quand l’alcool ne pourra affecter son jugement et ses paroles et quand tout son esprit sera en capacité d’écoute, réelle. Déblatérant des bêtises, elle s’amuse la future médecin, elle imagine des soirées qui n’ont jamais eu lieu, des situations risibles et absolument non plausible et pour autant assez amusantes dans son esprit. « Tu sais très bien que cette histoire ne ferait que rendre la situation plus complexe.» Certe mais ne serait-ce pas amusant de voir la tête du père Keynes face à cette histoire sortant de la bouche de sa petite chérie ? Provocation ? Probablement, mais c’est ainsi qu’elle avait été élevée Jules. Ne pas fermer sa bouche, toujours pouvoir se défendre et surtout tenter de chercher le retranchement des gens, aller plus loin et viser le mieux, encore et toujours. Elle se ravise toutefois, marquant le seul point qu’elle ne supporterait pas. Ne plus revoir cette gamine qui était devenue, contre toutes attentes, une partie essentielle à sa vie. « Qu’ils essaient pour voir. » Souriant, fière de la réponse de la jeune demoiselle, elle se dandine toute heureuse sur le banc, venant serrer la secrétaire dans ses bras. Pourtant, elle sent bien les yeux se lever lorsqu’elle évoque l’autre solution, celle de mettre tout sur le dos de son ex-petit ami. Il fallait l’avouer ce n’était pas totalement détacher de la vérité… Après tout, si elles s’étaient liées d’amitié au départ, c’était majoritairement par la rupture de la Keynes avec son militaire. « S’il peut servir à quelque chose de positif ce soir, ce serait chouette. » Elle rit Jules, heureuse qu’elle joue dans son jeu et qu’elle ne déprime pas à cette possibilité. Les étapes sont longues mais elle les traverse doucement et surement Evaline, vers la reconquête d’elle-même, son amour propre et surtout de vivre sa vie pleinement, sans cet homme qui est parti sans se retourner. « Un ange est censé être parfait et je ne le suis pas petite maline. » Elle lève les sourcils à cette remarque, marquant son désaccord. « Et qui dit cela ? » Les anges sont loin d’être parfait, ils n’ont simplement pas le choix, pour la plus part de faire le bien. Avant qu’elle n’aille plus loin, Evie continue et elle se retient pour mieux revenir à la charge par la suite. « Ils vont me voir comme ça, ce soir. » Elle rit, imaginant les Keynes voir leur fille comme un des anges justement tristement célèbre. « Au final, ils te verront donc vraiment comme un ange alors ! Dois-je t’apprendre que selon plusieurs courant religieux, le roi des enfers est lui-même l’ange déchu mais pourtant favoris de dieu ? » Elle rit presque face à cette réalité. « Et peut être que tu devrais vraiment leur dire de te renommer Lucifer, ça t’irait bien. » Elle s’amuse et se lève dans la folie passagère. « En plus, le rouge te va plutôt bien et je suis certaine que tu ferais sensation avec des cornes. » Elle fait mine de la draguer doucement dans sa splendeur habituelle avant d’éclater de rire. En effet, Samaël, fils préféré de dieu avait été déchu pour s’occuper des ténèbres, mais n'était-il plus véritablement un ange alors ? Tous, autant qu’ils sont, ont agi d’une manière impropre dans l’histoire, alors pourquoi vouloir coller à une perfection que même les mythologies n’atteignent pas ? « Puis s’ils sont trop sévères, tu pourras dormir à la maison, promis je te ferais une place dans mon lit. » Un nouveau clin d’œil appuyé et ironique. Déjà des lits, il y en a plein dans la maison des Politzer, mais surtout, jamais les Keynes ne pourraient mettre leur petit bijou dehors, encore moins pour qu’elle aille se diaboliser au sein de l’antre de tous les vices. « En attendant, tu peux tenter de te reposer si tu le souhaites, pour être en forme pour l’affrontement, je veille sur toi, promis. » Elle devient sérieuse en voyant l’heure qui s’est écoulée depuis leur entrée en cellule derrière les barreaux. Evaline aura besoin d’au moins une heure de sommeil pour affronter le regard de sa famille sans craquer devant eux. Elle se rassoit aux côtés de la brune. « Et si jamais il y a besoin, je les affronterai avec toi. » Sourire délicat, elle vient croiser ses doigts à ceux de son amie. Elle est sérieuse cette fois la Politzer, elle l’est toujours au fond. Et pour elle, elle ferait beaucoup, même si elle ne le dit pas toujours proprement…

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